Après le transfert systématique et les représailles contre le groupe de Zahra Boudkour, les militants sont sujets aux provocations de la part des directeurs des prisons qui les ont notamment privés de leur droit aux lits : depuis leur arrivée, ils ont été obligés de dormir par terre. Ils ont été aussi privés du droit à la visite et à l’utilisation des téléphones. Encore plus ils reçoivent des insultes et des agressions verbales. Les prisonniers vont entamer une grève d’avertissement de 48 heures.