Les mesures de sécurité pour le sommet de mercredi à Bruxelles sont semblables à celles qui avaient été prises en mars pour la visite du président américain Barack Obama. Mais vu la présence d’autres chefs d’Etats et de gouvernements, une disposition supplémentaire a été prise, à savoir une surveillance frontalière. Cela constitue une première depuis l’entrée en vigueur de la convention de Schengen en 1995. Des contrôles pourront ainsi être menés aux frontières terrestres de même que dans les aéroports et ports du pays.