Seuls quinze militaires sont passés dans les rangs de la police pour combler les manques récurrents d’effectifs policiers. Ils ont été affectés au Corps d’intervention à Bruxelles, le CIK, qui patrouille quotidiennement dans le métro et les gares aux côtés de la police fédérale des chemins de fer. La possibilité de recruter de nouveaux policiers dans les rangs de l’armée avait été envisagée à la suite de l’agression mortelle d’un superviseur de la STIB en avril 2012. Le ministère de l’Intérieur précise d’ailleurs que l’expérience ne sera plus renouvelée, faute de résultats probants. La proposition d’accompagnement des patrouilles de police par des militaires est également abandonnée.