Des associations francophones et flamandes de magistrat et plusieurs barreaux et syndicats d’avocats se sont joints jeudi à la Ligue des droits de l’Homme (LDH) et à l’Observatoire international des prisons (OIP) pour dénoncer l’avant-projet de loi modifiant les règles de libération conditionnelle, à la veille de son examen par le conseil des ministres.
Le front commun pointe du doigt la remise en cause des libérations conditionelles, mais aussi les politiques des ministres de la justice et de l’intérieur, qui multiplient les amendes administratives ‘contre l’incivilité’.