L’Organe de coordination pour l’analyse de la menace (OCAM) dispose pour le moment d’une base de données qui est alimentée par ses services partenaires. Un rapport d’un inspecteur local va être transmis à la police fédérale, qui va le retravailler, et en fin de compte le dossier va être transmis à l’OCAM où 14 personnes vont à leur tour l’encoder dans une base de données, a expliqué le directeur de l’OCAM hier mercredi à titre d’exemple de fonctionnement inefficace. Il a donc plaidé hier mercredi pour une base de données carrefour qui permettrait à ses services d’accéder directement aux informations et bases de données des services partenaires.

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