Il y a une semaine, la police interpellait à son domicile un homme de 25 ans qui, suite à une longue enquête, est accusé d’avoir taggué la coupole du Palais de Justice il y a quelques semaines. Alors que la loi anti-graffiti prévoit une peine de six mois maximum, et donc pas de détention préventive, la chambre du conseil a décidé de prolonger son incarcération. Son avocat a réagit en dénonçant cette décision dans la mesure où la détention préventive est une exception pour les faits les plus grave, ce qui est dans ce cas totalement disproportionné.