Malgré un manque d’effectif dans 6 zones de police à Bruxelles, entre 84% et 90% des candidats policiers -candidats qui sont 12’000 chaque année- sont recalés. Ce sont les aptitudes cognitives et les tests de personnalités qui éliminent le plus de postulants. Le ministre-président de la région bruxelloise reste optimiste, il veut une police présente et visible pour ‘juguler l’insécurité qui empèche de nouveaux habitants de venir s’établir dans la capitale’, 8% des policiers de la région bruxelloise y vivent effectivement. Un accord gouvernemental prévoit bientôt un grand plan de recrutement pour la police bruxelloise.