Le 21 novembre, le tribunal d’application des peines (TAP) de Paris avait émis un avis positif de principe sur sa demande de libération de georges Ibrahim Abdallah avec ajournement de la décision au 14 janvier, en l’attente d’un arrêté d’expulsion. Le parquet avait fait appel mais la cour d’appel de Paris avait confirmé cette décision jeudi.
Cependant, la décision de libérer Georges Ibrahim Abdallah a été reportée lundi au 28 janvier par TAP confronté au fait que le ministère de l’intérieur n’a pas signé l’arrêté d’expulsion du territoire français, qui est le préalable indispensable à cette libération. Rappelons que le ministre de l’intérieur, Manuel Valls s’est publiquement déclaré « lié de manière éternelle à Israël ».