C’était le 23 février, lors d’une perquisition chez un forgeron qui aurait fabriqué le crochet qui avait servit lors de la fameuse opération de sabotage. Les enquêteurs de la SDAT avait alors oublié un dossier confidentiel chez le suspect. Les documents sont ‘sans interêts’ selon les autorités ‘compétentes’. Les documents comprenaient pourtant -en plus des repérages, photos, rapports,…- une dizaine de numéros de téléphone d’agents anti-terroristes, les numéros ont été changés et aucune charge n’est retenue contre les suspects. Ce n’est pas la première fois qu’une énorme gaffe brise la grande motivation de la Direction Anti-Terroriste en concernant l’affaire Tarnac, dernière en date : l’irrecevabilité de la plupart des éléments inculpants les premiers suspects à cause de l’illégalité de leur mise en place (écoute clandestine, traçage GPS non-autorissé,…).