Un homme comparaît ce mercredi devant la 23e Chambre du tribunal correctionnel de Paris. De toutes les personnes arrêtées en marge de la manifestation propalestinienne interdite du 19 juillet dernier à Barbès, il est celui à être poursuivi pour les faits les plus graves: jets de projectiles, outrage, détention d’une arme blanche et coups portés au visage et au corps sur un policier. Et pour s’en être pris à une personne dépositaire de l’autorité publique, le prévenu encourt une peine pouvant aller jusqu’à cinq ans d’emprisonnement et 75.000 euros d’amende.