Quatre syndicalistes de la CGT, poursuivis pour «violences en réunion» à l’encontre du député Rassemblement national (RN) du Nord Sébastien Chenu, ont été relaxés ce mercredi par le tribunal correctionnel de Valenciennes. Fabrice, Nicolas, Roland et Yohan étaient accusés d’avoir violemment exclu l’élu RN d’une manifestation organisée en mars 2018 à Valenciennes par la CGT Métallurgie. Dès le début de ce rassemblement, visant à protester contre ontre la fermeture de la tuberie de Saint-Saulve, en banlieue de Valenciennes. Sébastien Chenu avait été fermement prié de partir, bousculé et s’était retranché dans une agence de voyages. Une dizaine de policiers étaient intervenus pour le protéger. Chenu a 10 jours pour faire appel.

Chenu protégé par les policiers après son expuslion de la manfiestation

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