Quatre militants contre l’aéroport de Notre-Dame des Landes ont été relaxés après un montage judiciaire hasardeux pour association de malfaiteurs (Une pince dans le coffre de la voiture), attroupement armé (un pic-nic devant le palais de justice), et vol -L’accusation a appelé le gérant du Decathlon le plus proche pour demander si des lampes de poche de la même marque que celles retrouvées dans la voiture avaient été volées.
Le procureur demandait 6 à 10 mois de prison, le juge a relaxé mais a condamné les 4 militants à 4 mois de prison pour refus de donner ADN et empreintes digitales.