Des policiers namurois soupçonnés d’occuper leurs heures de travail à faire autre chose que leurs tâches de police pourraient faire l’objet de sanctions qui vont de la saisie de salaire à la rétrogradation barémique. La hiérarchie de la zone les avait pistés, à leur insu, via des mouchards placés dans les véhicules de police. Le GPS, notamment, aurait confirmé des agissements plus que suspects. Ces policiers pistés ont dénoncé un vice de procédure qui rendrait caduques ces filatures: les règles en matière de protection de la vie privée n’auraient pas été respectées.