En juillet dernier, lors des bombardements de Gaza, Alain Pojolat a déposé à la préfecture de police de Paris, au nom de l’ensemble des organisateurs, deux demande de manifestations de solidarité – qui ont été interdites. Mais les 19 et 26 juillet, à Paris, ce sont des milliers de manifestants qui ont bravé l’interdiction de manifester. Ce mercredi 22 octobre à 9h, au TGI de Paris, Alain Pojolat, comparaissait pour avoir maintenu des manifestations en dépit d’interdictions gouvernementales. Il a été relaxé.

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