Les cinq personnes interpellées hier et avant-hier sont sorties, seules deux sont mis en examen dans le cadre d’une affaire distincte des arrestations du 15 février après être passés devant la juge Couzy. Elles sont accusés de dégradations en réunion et violence sur Air France, Bouygues et SNCF à partir d’une enquête préliminaire ouverte le 17 mars. Elles sont sous contrôle judiciaire. Les autres sont poursuivies pour avoir refusé de donner leur ADN.