Suite du feuilleton dont on vous avait déjà parlé le 11 février dernier (voir ici). Aussi incroyable que cela puisse paraitre, l’Inde n’a toujours pas libéré trois personnes de l’émission Pekin Express, le producteur néerlandais et ses agents de sécurité belge et britannique sont toujours assignés à résidence en attendant qu’on les laisse partir. Ils avaient été accusés par l’armée indienne de circuler dans un territoire influencé par la guerilla naxalite avec un bon paquet de téléphones satellites non-déclarés. La production se défend en invoquant un problème de communication entre différents organes administratifs indiens. Le reste de l’équipe a pu poursuivre sa route vers le Sri Lanka.