Fin janvier, le Comité national pour les Elections (JNE) du Pérou a refusé pour la seconde fois la demande d’inscription en tant que parti politique du « Mouvement pour l’Amnistie et les Droits fondamentaux » (MOVADEF). Il est présenté par les autorité comme la « façade légale » du PCP-SL et fait l’objet d’une campagne médiatique extrêmement hostile.

Le MOVADEF, qui se décrit comme : « un mouvement constitué afin de trouver la solution aux problèmes de notre pays, de la nation péruvienne, de nos travailleurs exploités, en luttant pour leurs droits fondamentaux et pour la démocratisation de la société péruvienne. », a obtenu plus de 350 000 signatures à l’appui de sa candidature. Après le rejet de leur tentative d’inscription, les représentants du MOVADEF ont déclaré qu’ils feraient appel.