Mardi 1er juillet, à sept heures du matin, des agents de la DIGOS (l’unité antiterroriste de la police) ont perquisitionné les domiciles de onze activistes de Trieste, ainsi qu’un espace utilisé par divers groupes politiques et sociaux. C’est une nouvelle opération répressive de grande ampleur, comme en témoigne le déploiement massif de policiers et de véhicules. Cela intervient dans le cadre d’une enquête pour « résistance » et « agression » contre un fonctionnaire durant la marche antifasciste du 25 avril, une mobilisation qui a été bloquée puis chargée par la police.