Afin de déterminer l’origine d’une fuite d’informations, le département de la Sécurité intérieure passe son personnel au détecteur de mensonges. Le nombre de collaborateurs soumis au polygraphe n’a pas été précisé. Deux membres du personnel auraient mis en « danger » la vie de policiers en diffusant des informations confidentielles sur de prochaines opérations policières. Ces deux personnes risquent jusqu’à 10 ans de prison. Les villes dans lesquelles les autorités planifient de mener des opérations de déportations d’immigrés illégaux auraient fuité. Le plan de déportation façonné par les nouvelles autorités américaines prévoit notamment l’arrestation d’immigrés dépourvus de titre de séjour, même s’ils n’ont commis aucune infraction.
