Depuis jeudi 21 janvier, Dana Lauriola (porte-parole et militante du mouvement No-TAV) et quatre autres détenues sont en grève de la faim. Arrêtée le 17 septembre 2020, Dana et ses codétenues protestent contre leurs conditions d’emprisonnement, en particulier la diminution des heures de parloir avec les familles. Les six heures habituelles ont été remplacées par des appels vidéo, la qualité et la quantité des échanges naturellement en pâtit d’où la grève entamée par les détenues.