L’Union turque des journalistes (TGS) a expliqué hier que plus de 70 journalistes ont soit été soit licenciés, soit contraints de quitter leur poste ou de démissionner depuis le début, le 31 mai, du mouvement de protestation contre le gouvernement islamo-conservateur. 22 ont été licenciés, 37 forcés à quitter leur poste et le sort de 14 autres est en suspens. Le syndicat dénonce les pressions des autorités sur les organes de presse pour se débarrasser des journalistes jugés peu complaisants à l’égard des politiques suivies par le gouvernement.