Le matin du 22 mars, la DIGOS (police politique) a perquisitionné cinq habitations à Rome et en Ombrie. Le documents juridiques indiquent que quatre personnes sont sous enquête pour 270 bis (association subversive avec la finalité de terrorisme) et en vertu de l’article 2 de la loi 895/1967 (loi sur le contrôle des armes et explosifs). A la fin des perquisitions, le matériel saisi est celui habituel : des supports informatiques (des smartphones, des ordinateurs, des disques durs externes…) et des publications, comme le dernier numéro de Bezmotivny et la publication La Tempesta, qui avait déjà été saisie en masse, il y a quelques semaines.