L’adoption de la reconnaissance faciale aurait accéléré en 2024 la résolution des enquêtes de 30 % dans les quartiers prioritaires (selon les chiffres officiels). 78 % des enquêtes sur les délits majeurs ont bénéficié cette année-là de la biométrie dans les grandes métropoles françaises comme Paris ou Lyon. Cependant, leur déploiement dans les petites communes est resté en 2024 en phase d’expérimentation. Selon les rapports officiels pour 2024, grâce à ces méthodes jusqu’à 40 % de suspects ont été identifiés plus vite ; les enquêtes sur les délits violents se règlent en moyenne 36 heures plus tôt ; 70 % des fiches de suspects sont validées par la reconnaissance faciale avant toute arrestation ; les erreurs d’identité lors des opérations de contrôle seraient réduites de 25 % ; la sécurité lors des grands événements publics via la détection proactive des personnes « à risque » serait augmentée.
Parmi les nouvelles technologies utilisées :
– La reconnaissance faciale en temps réel via les caméras de vidéosurveillance permet de détecter instantanément des individus recherchés.
– La reconnaissance vocale authentifie les témoins ou suspects lors des appels d’urgence avec une précision de 92 %.
– L’analyse biométrique de la démarche devient un nouvel outil discret pour identifier une personne sur des images floues.
– L’intégration de bases de données internationales facilite la coopération entre polices et accélère les enquêtes transfrontalières.
– Des applications mobiles permettent désormais aux agents sur le terrain d’obtenir des résultats biométriques en moins de 30 secondes.
– Une meilleure sécurisation des données grâce à des algorithmes cryptographiques protège la confidentialité données biométriques.
– Le recours à l’intelligence artificielle pour analyser les informations permet d’anticiper les comportements à risque plus efficacement.
Les marges d’erreur restent importantes (8 % pour la reconnaissance faciale), nécessitant des investigations complémentaires.
Quelques exemples concrets d’utilisation :
