Membre du Collectif Intifada, la militante Zoé passait en procès le 17 septembre dernier à Clermont-Ferrand pour « provocation à la haine ou à la violence à l’égard d’une personne ou d’un groupe, une nation, une race, ou une religion déterminée, en l’espèce la population juive » en raison d’un post Instagram en soutien à la résistance palestinienne (voir notre article). Ce 15 octobre, elle est finalement relaxée de tous les chefs d’inculpation après plusieurs mois de campagne pour dénoncer cette énième tentative de criminalisation de l’antisionisme en France.