Les prisonniers politiques colombien ont entamé il y a dix jours une grève de la faim. René Nariño, leur porte-parole a déclaré que la grève est justifiée par l’absence de réponses aux nombreuses revendications relatives aux conditions de détention: « Les défauts de soins de santé ont tué plusieurs camarades ». Elle est aussi justifiée par l’absence de tout changement dans le régime de libération après trois ans de dialogue entre les FARC et le gouvernement.
Guérilleros colombiens dans la prison de Bogota