Le juge de l’Audienca Nacional, a mis en liberté provisoire les deux Espagnols membres de « Recontruction Communiste » et accusés d’avoir combattu l’Etat islamique pendant six mois au Rojava dans les rangs du bataillon international des YPG. Ils restent inculpés de terrorisme. Le juge a imposé des pointages de contrôle hebdomadaires, le retrait du passeport et l’interdiction de quitter le territoire. Les deux militants auraient reconnus avoir combattu dans les rang des YPG.