Ce jeudi 2 octobre, le parquet a fait appel de la décision de justice qui autorisait Christian Tein, président du Front de libération nationale kanak et socialiste (FLNKS), à rentrer en Kanaky. Cette modification du contrôle judiciaire concernait également quatre autres militants Kanak mis en cause dans l’enquête sur les révoltes de mai 2024. Christian Tein, à l’époque chef de la Cellule de coordination des actions de terrain (CCAT), reste mis en examen pour vols en bande organisée avec arme, destructions en bande organisée et association de malfaiteurs en vue de la préparation de crimes et délits.
