Lundi 23 mars, le ministère de justice a annoncé qu’il prendrait des ordonnances pour libérer 5000 prisonniers en fin de peine en raison du Coronavirus. La garde des Sceaux avait aussi indiqué avoir donné des instructions pour qu’on ne mette pas à exécution les courtes peines d’emprisonnement. Les prisons françaises avaient, comme ailleurs dans le monde, connus d’importants mouvements de révoltes des prisonniers inquiets pour leur santé et mécontents des mesures prises dans le cadre du confinement (voir notre article).