Bruno Retailleau, ministre de l’Intérieur français, a annoncé à l’Assemblée nationale l’ouverture d’une procédure de dissolution contre la Jeune Garde antifasciste. Né à Lyon en 2018 et présents dans plusieurs villes, ce mouvement a participé activement aux récentes mobilisations sociales, antifascistes et anticolonialistes. Le même jour, le porte parole d’Urgence Palestine Omar Alsoumi a déclaré sur les réseaux sociaux que les autorités avaient également engagé la dissolution de l’organisation pro-palestinienne fondée en novembre 2023. Présente partout en France, elle joue un rôle central dans la mobilisation contre le génocide en Palestine. Ces procédures interviennent après la dissolution de plusieurs organisations, comme la GALE ou le Collectif Palestine Vaincra (voir notre article).

Lire la déclaration du Secours Rouge Toulouse