Composée de membres des mouvements sociaux et des syndicats, une nouvelle force de « police volontaire » est mise en place par le Nicaragua. Elle est présentée comme une aide à défendre le gouvernement sandiniste contre d’éventuelles tentatives de coup d’État. Depuis de longues années, le pays est confronté à l’opposition soutenue par les États-Unis. Une réforme récente de la constitution permet à L’État de décentraliser les institutions, déléguer le pouvoir et le financement de cette police aux organisations communautaires et aux mouvements sociaux pro-sandinistes.
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