Les autorités ont découvert mardi dans un bureau de Bogotá un centre d’espionnage visant le président Juan Manuel Santos et les négociateurs des FARC dans le processus de paix. Le centre d’espionnage a été exploitée par un ingénieur qui affirme n’avoir aucun lien avec les services secrets. En février un autre centre avait été débusqué à Bogota, provoquant la démission de deux hauts responsables du renseignement de l’armée. Les écoutes servaient aux réseaux de « l’état profond » pour torpiller les négociations de paix.