Le 25 mars dernier, un étudiant syndiqué à la FSE avait été arrêté à son domicile puis avait passé 7h en garde à vue (voir notre article). La raison de cette attaque policière, un tweet jugé menaçant à l’encontre des membres du syndicat étudiant d’extrême droite UNI, épinglé ces derniers temps pour les nombreux saluts nazis effectués par ses cadres. L’étudiant étant désormais poursuivi par la justice, la FSE a lancé une cagnotte de soutien (lien vers la cagnotte) pour aider le camarade mis en cause à régler ses frais de justice face à la répression.
Ce n’est pas la première fois que la répression judiciaire frappe des militant·es antifascistes. Ainsi, cette affaire nous rappelle celle d’Albi où deux militants antifascistes avaient été condamnés à de la prison avec sursis pour s’être défendu face aux fascistes de la Cocarde étudiante et de Patria albiges il y a quelques mois (voir notre article).
