Samedi 6 octobre, la maire de Nantes Johanna Rolland était présente au marché lorsqu’un groupe de soutien aux migrants est venu la confronter. Il dénonçait notamment l’enfermement de quatre migrants qui logeaient dans une ancienne maison de retraite.
Finalement le groupe a lancé de la farine sur la maire. Celle-ci a immédiatement porté plainte. Jeudi 11 octobre, un homme s’est rendu à la police avec son avocat. Il a aussitôt été placé en garde à vue pour « violences aggravées » et a fait usage de son droit au silence.
Il sera jugé le 22 novembre prochain. Il s’est vu notifier une convocation par procès-verbal et a été placé sous contrôle judiciaire. Il comparaîtra devant le tribunal pour violences sans incapacité totale de travail (ITT) sur personne dépositaire de l’autorité publique et refus de prélèvement ADN.
Johanna Rolland, maire de Nantes