La Cour d’Appel de Metz jugeait une nouvelle fois le président du Collectif BDS 57, suite à une plainte d’un pharmacien de la ville qui avait reçu un courrier, privé, lui demandant de ne plus vendre les génériques Teva, une grosse entreprise israélienne. Lors d’un premier procès au printemps dernier, Richard S. avait bénéficié d’une relaxe. Il y a eu appel des 3 parties civiles ( Téva Santé, France-Israël et Avocats sans Frontières) et de la procureure. Le procès en appel n’avait pu se tenir suite à un mouvement d’avocats. Hier enfin il s’est tenu à partir de 14 h, jusque vers 17h. La décision a été mise en délibéré au 28 février. De 60 à 80 personnes solidaires étaient présentent pour exiger la relaxe pour Richard S., face à une trentaine de contre-manifestants sionistes. Le verdict sera rendu le 28 février.
Rassemblement devant le palais de justice de Metz lors du procès en première instance