Après la manifestation de plusieurs milliers de personnes hier, à Paris, qui a été chargé par la police (voir ici), plusieurs autres manifestations ont été interdites pour ce vendredi. A Toulouse, malgré l’interdiction et l’annulation par les organisateurs de la manifestation pro-palestinienne à Toulouse, un rassemblement s’est tenu qui a été dispersées par des gendarmes mobiles à l’aide de gaz lacrymogènes. A Saint-Nazaire, des manifestants se sont rendue au point de rassemblement quadrillé par un dispositif policier; deux d’entre elles ont été verbalisées pour « participation à une manifestation interdite ». La préfecture de police des Bouches-du-Rhône a saisi le parquet après le maintien de deux manifestations pro-palestiniennes ce mardi (photo) et ce mercredi à Marseille qui étaient interdites. Mercredi, un organisateur et une manifestante avaient été arrêtés. Malgré les interdictions, d’autres manifestations ont eu lieu comme à Rennes, à Bordeaux ou à Lille, où il y a eu dix interpellations pour « rébellion » et « refus de se disperser ».