Au Maroc, les révolutionnaires emprisonnés ont besoin de notre solidarité, d’une solidarité intelligente, capable de leur apporter des forces afin de faire face à la répression de l’Etat semi-colonial semi-féodal marocain. Le combat est politique, c’est en raison de leur appartenance à l’Union National des Etudiants du Maroc (UNEM) et à la Voie Démocratique Basiste que sont frappés ces camarades. Les familles elles-mêmes sont la cible de la répression.
Zahra Boudkour
Lire le communiqué des familles (.pdf)