Les lutteurs et les lutteuses mènent une grève et des manifestation pour obtenir la démission et l’arrestation de Brij Bhushan Sharan Singh, député du BJP (parti de la droite indouiste au pouvoir) et chef de la Fédération indienne de lutte, qui a été accusé de harcèlement sexuel par sept lutteuses, dont une mineure. Cette mobilisation ont obtenu le soutien d’organisations de tout le pays, représentant des milieux et des domaines divers, tant le problème des harcèlements et agressions des femmes est profond en Inde. Les manifestations en cours ont ont également attiré l’attention sur le traitement des athlètes et la nécessité de protéger leurs droits et leur bien-être.
Dimanche 28 mai, à leur 36e jour de lutte, ils ont débordés les dispositifs policiers organisé devant le nouveau bâtiment du parlement que le premier ministre Modi inaugurait (photo de gauche). Des renforts de police ont été nécessaire pour les repousser. Il y a eu plusieurs arrestations, y compris plusieurs champions et championnes de lutte extrêmement populaires dans le pays (photo de droite).