Neuf syndicalistes avaient été condamnées en décembre 2017 pour séquestration et violence ((voir notre article). Ce vendredi 28 juin, la cour d’appel de Versailles a rendu sa décision. Elle a abandonné l’accusation de séquestration mais a retenu l’accusation de « violence psychologique » donnant moins de 8 jours d’arrêt maladie. Les neuf syndicalistes ont été condamnés à 3 mois de prison avec sursis, 5 ans de mise à l’épreuve et 11 700 € d’amende au total.
Manifestation de soutien de novembre 2017 (archive)