Après quatre mois d’une grève qu’elle n’a pas digérée, la direction de la SNCF aurait l’intention de faire payer aux agents leur implication dans le mouvement. Des dizaines de cheminots risquent gros, certains pourraient être menacés de licenciement. En quatre mois de conflit, la SNCF affirme avoir recensé plus de 440 faits de malveillance. 120 plaintes ont été effectivement déposées. Courant juillet, de nombreux grévistes ont été convoqués par leur direction en septembre.
Manifestation de grévistes à la SNCF (archive)