Un attentat à l’engin incendiaire artisanal mercredi contre le bureau de l’AFP à Athènes a été revendiqué par la ‘Conspiration des cellules de feu’. L’attentat réalisé avec un engin composé de quatre petites cartouches de gaz, placé devant la porte du bureau de l’AFP, a provoqué un incendie. Il n’a pas fait de blessé. Il a été réalisé ‘en signe de solidarité avec les camarades français‘. Apparu en janvier 2008 avec neuf attentats à l’engin incendiaire à Athènes devant des distributeurs de banques grecques et étrangères et des concessionnaires automobiles, ce groupe a depuis revendiqué plus de 30 attaques du même type. Ses dernières actions ont visé début novembre la permanence politique du ministre de la Défense, les sièges d’une association de retraités de l’armée et d’une société informatique liée au ministère de la Défense, une jeep de l’armée, ainsi qu’à Salonique les bureaux de l’union des réservistes. Ce genre de mini-attentats contre des agences, banques ou représentations diplomatiques est très fréquent en Grèce.
Entre le 25 et le 28 novembre, une demi-douzaine de cocktails molotovs ont endommagés les installations du métro de Mexico-City. Des installations téléphoniques et une banque ont également été la cible d’actions incendiaires. Ces actions sont liées au mouvement de lutte contre les expropriations et les saccages éconologiques pour une nouvelle ligne de voie ferrée dans le district de Mexico et en solidarité avec les inculpés de Tarnac. Elles ont été revendiquées par la ‘Cellule éco-anarchistes d’attaque directe’.
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