✊📢 Ce samedi 8 décembre, nous tentons de suivre et publier la situation en direct lors des manifestations qui auront lieu en Belgique et dans l’Etat français à l’occasion des actions #GiletsJaunes qui auront lieu aujourd’hui. Nous nous concentrerons sur Bruxelles, Paris et Toulouse tout en suivant également la situation ailleurs. Suivez la situation sur notre page et sur notre site et envoyez nous vos infos.

Paris
L’accès à Paris est difficile depuis hier soir, des fouilles et des arrestations peuvent avoir lieu dans les gares, dans les trains, sur les autoroutes, dans la rue,…

10h30: 354 personnes ont été arrêtées préventivement à l’heure actuelle, au moins 34 sont gardées à vues. Les forces de l’ordre gardent à vue les « membres de l’ultra-gauche et de l’ultra-droite ». D’autres personnes sont gardées sous les motifs de « groupement en vue de commettre des violences et des dégradations » ou « provocation à la commission d’un délit ou d’un crime ».

13h15: On en est à 575 interpellations dont 361 gav.

15h40: L’intensité et le nombre de manifestants rendent un compte-rendu détaillé impossible. Le nombre d’arrestations officielles a dépassé les 700. Les chiffres du gouvernement et des médias sont ridicules : prétendant 8000 manifestants à Paris dont 1000 sur les Champs Elysées, alors que ce second chiffre seul atteint presque le premier.

fin de soirée: Le bilan atteint 1.385 interpellations dont 974 gardes à vue, la plupart à Paris. On déplore également 118 blessés du côté des manifestants.

Bruxelles
10h40: On ne sait pas encore quelle ampleur prendront les actions gilets jaunes à Bruxelles aujourd’hui. La police a doublé son dispositif et a également mis en place des mesures préventives, dont la fermeture de points-frontières entre la Belgique et la France cette nuit de 22h à 5h afin de contrôler plus facilement ceux qui passaient.

11h25: La police confirme 50 arrestations préventives et tente principalement d’empêcher l’accès au Quartier Européen et à la Zone Neutre. Voir la carte de PolBru. Plusieurs trains ne s’arrêtent pas à Bruxelles-Centrale. Des fouilles ont lieu dans les trois principales gares bruxelloises (Nord, Central, Midi).

11h35: 200 gilets jaunes à Trône en route vers Arts-Loi, suivis par l’hélicoptère.

11h50: La police bloque la Rue de la Loi dans les deux sens. Un drone d’observation est présent.

12h15: Gilets jaunes au carrefour Trêve/Belliard. Des policiers étrangers (probablement hollandais) sont présents. Petits affrontement.

12h20: Gilets Jaunes Place du Luxembourg, vers Trône.

12h24: On en est à 70 arrestations.

12h45: Les GJ de Schuman sont arrivés rue de la loi. 20 combis de police déchargent leur contenu à Trône.

12h53: Un très grand groupe de manifestants nassés au carrefour Arts/Belliard.

13h06: On a passé les 100 arrestations. La situation à Belliard n’est pas claire. Vandersmissen mène les opérations, trois lignes de flics anti-émeutes encerclent la nasse. Des renforts sont en déploiement.

13h14: De nouvelles lignes de flics sur la petite ceinture, la cavalerie est également présente. À priori la cortège Front Social est dans la nasse.

13h31: Affrontements dans la nasse.

14h: Une deuxième nasse à Schuman. La nasse à Art-Loi est sous l’effet d’une charge policière et est vidée petit à petit avec des groupes de manifestants qui se reforment derrières les lignes de police

14h05 Fouilles à l’entrée de la station de métro Art-loi qui est possiblement fermée

14h13 On signale une ligne de police au niveau de l’ambassade américaine qui empêche plusieurs centaines de Gilets Jaunes d’approcher la nasse qui est à 250 mètre.

14h17 On signale la présence de policiers anti-émeutes à la station métro Louise. Il est conseillé d’éviter les métros

14h22 Manifestation de centaines de Gilets Jaunes vers Rogier

14h35 La police est débordée par la manifestation qui compte environ 500 personnes qui se dirige maintenant vers la colonne du congrès.

14h36 On signale un groupe d’environ 80 Gilets Jaunes à Ixelles (Porte de Namur). Présence policière massive

14h38 La police envoie des renforts pour contrer la manifestation

14h39 Petits groupes de Gilets de Jaunes et de policiers dispersés entre porte de Namur et Louise. Un groupe de 30 GJ se dirigent vers le palais de justice

14h40 La manifestation bloque la rue royale

14h45 Le petit groupe de 80 personnes se dirige vers porte de Hall. On signale des arrestations et des matraquages avenue Louise

14h46 La manifestation de 500 personne est elle Boulevard du Jardin Botanique

14h50 arrivée massive de policiers et de combis près de Gare du Nord

15h Les arrêtés vont être emmenés aux casernes d’Etterbeek. On série de personne a pu quitter la nasse moyennant un contrôle d’identité

15h30 La plupart des manifestants ont été emmenés aux casernes d’Etterbeek. Il ne reste qu’une centaine de manifestants nassés rue Belliard.

15h50 Les policiers sont toujours déployés boulevard du Régent. Ils fouillent systématiquement les passant.e.s. Il s’agit d’unités venant d’Eupen.

16h25 Des manifestants sont toujours bloqués dans la nasse par la police du côté de Arts-Loi. De son côté, la police annonce qu’elle utilisera les images prises par les autopompes pour arrêter judiciairement des gens et libérera les autres.

18h Au total, plus de 400 personnes ont été arrêtés selon la police. Trois policiers ont été blessés. Un policier a fait un malaise, un a été blessé à la main par un jet de pavé et le dernier s’est fracturé la mâchoire.

Fin de soirée: Le bilan est de 450 interpellations et de dix arrestations judiciaires. Il s’agit de deux personnes qui faisaient l’objet d’un signalement pour d’autres faits et de huit personnes pour des faits en lien avec la manifestation.

Toulouse
10h50: Les gens sont fouillés à Jean Jaurès, sérum physiologique et maalox sont confisqués par la police.

10h55: Via l’info-traflic de l’IAATAA: Au niveau du square Charles de Gaulle et à Jean Jaurès, les CRS et GM fouillent les sacs et confisquent les masques et autre. La BAC tourne en ville dans une Ford focus grise. Des bacqueux sont à la sortie du métro Jeanne d’Arc, des GM aussi. 4 fourgons de GM entre la fin du marché du Crystal et Arnaud Bernard.

12h44: Plusieurs centaines de manifestants Place Jeanne d’Arc.

12h48: Les GJ prennent le boulevard de Strasbourg, un peu moins de 1000 manifestants. CRS derrière et à gauche.

13h02: Les GJ sont arrivés Place Arnaud Bernard.

13h19: Le gros est toujours à Arnaud Bernard. Une centaine à Jeanne d’Arc.

13h27: Un barrage de CRS séparent les cortèges Arnaud Bernard/Jeanne d’Arc. Les lycéens sont arrivés à Arnaud Bernard.

13h29: Le cortège Arnaud Bernard passe le cordon de CRS en chantant « À bas l’état, les flics et les bourgeois! »

14h50: Problème technique, les dernières mises à jour ont été effacés. Le cortège a rebroussé chemin devant l’énorme quantité de grenades lacrymogènes. Toujours Bvd Lascrosses mais prend l’avenue Séjourné.

15h: Plusieurs blessés dans les affrontements dans les rues adjacentes. La manif a passé le Pont des Catalans.

16h: Le cortège est arrivé à St-Cyprien.

16h10: Émeute sur le pont des Catalans.

16h40: Des barricades enflammées séparent les milliers de manifestants restés sur place et la police à l’entrée du Pont des Catalans, côté St-Cyprien. Un chantier et une banque ont été démontés. La police est débordée.

17h50: La police perce doucement les barricades, les milliers de GJ quittent la zone.

19h18: L’émeute se poursuit. Elle est à présent aux Arènes et se dirige vers Deodat de Severac.

Acte 4 (Place de la République)

Acte 4 (Place de la République)

Jeudi 6 décembre environ 280 lycées et collèges en France étaient le théâtre de mobilisations (blocages totaux, partiels, les barrages filtrants, des feux de palettes), 45 d’entre eux étaient bloqués totalement lors de la quatrième journée de mobilisation lycéenne.
Dans les Yvelines, 153 lycéens ont été interpellées à Mantes-La-Jolie après des affrontements avec la police. Les policiers ont regroupé et encerclé les lycéens et les ont forcé à se mettre à genoux main sur la tête (voir la vidéo ). Dans les Hauts-de-Seine, 35 personnes ont été placées en garde à vue après des échauffourées devant des lycées. On signale également des affrontements à Béziers, à Clermont-Ferrand et à Toulouse. Au total la police a arrêté plus de plus de 700 personnes.
Par ailleurs, la veille, mercredi, un élève du Jacques-Monod, à Orléans, un élève avait été grièvement blessé par un tir de flashball.
Aujourd’hui les lycéens poursuivaient leur mobilisation pour le cinquième jour. On signale 13 arrestations en Seine-Saint-Denis et sept à Toulon. On signale également des affrontements à Sainte-Geneviève-des-Bois, Lyon et Toulon.

Les lycéens de Mantes-La-Jolie arrêtés

Les lycéens de Mantes-La-Jolie arrêtés

Lundi 3 décembre, deux domiciles ont été perquisitionné à partir de 9h30 dans le village de Mandres-en-Barrois (à 3 km de Bure) dans le cadre de l’enquête pour « association de malfaiteurs ». Chez une des personnes, 3 téléphones ont été saisi et le contenu d’un ordinateur a été copié. Chez l’autre, plusieurs téléphones, une tablette et un ordinateur ont été saisi par les gendarmes. Durant la matinée, des gendarmes ont coursés à travers le village des personnes qui étaient venues en soutien aux personnes perquisitionnées. Il n’y a pas eu d’interpellation et vers 12h30, les gendarmes étaient partis.

Mardi 4 décembre, une nouvelle perquisition au domicile d’une militante de très longue date contre la poubelle atomique. Après trois heures, trois policiers en civil (sans doute de la « cellule Bure ») l’ont dépouillée de tout le matériel informatique, des téléphones, de calepins de note…

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Les mots d’ordre des syndicats lycéens concernent les réformes du bac et du lycée, la plateforme d’accès aux études supérieures Parcoursup et la création du service national universel (SNU), qu’ils contestent. Jusqu’à présent, les appels à mobiliser n’avaient rencontré que peu d’échos, mais le mouvement a pris de l’ampleur lundi, porté par la mobilisation des « gilets jaunes ». Environ 200 lycées ont été à nouveau bloqués mardi.

Dans le Val-d’Oise, 97 personnes ont été placées en garde à vue mardi après des heurts à proximité de quinze lycées. À Enghien-les-Bains, un lycée a été victime d’une « tentative d’incendie » lors d’une manifestation qui a rassemblé quelque 200 jeunes, certains cagoulés. Trois policiers ont été blessés. Des incidents ont une nouvelle fois éclaté à Aubervilliers. Une centaine d’élèves étaient aussi rassemblés à Saint-Ouen, où une voiture a été incendiée.

A Cachan, une voiture a été incendiée et la police a fait usage de gaz lacrymogène sur les lycéens. En Essonne, sept jeunes ont été interpellés après des blocages devant des lycées. A Ris-Orangis, des jeunes ont mis le feu à des barrages de palettes et caillassé les forces de l’ordre. A Bondoufle, deux gendarmes ont été légèrement blessés dans des affrontements.

Un blocage lycéen (archive)

Le mouvement qui conteste la politique fiscale du gouvernement français ne faiblit pas. Sirènes en marche, près de 400 ambulanciers ont bloqué la place de la Concorde, lundi, pour protester contre la réforme du financement du transport médical, sans renier par ailleurs une proximité avec le mouvement des gilets jaunes.

Un peu partout en France, des gilets jaunes poursuivaient leurs actions ce lundi et bloquaient certaines routes de province et des dépôts de carburants. À la Réunion, des affrontements avaient lieu entre forces de l’ordre et gilets jaunes. Depuis deux semaines, le seul port marchand de l’île est bloqué. Enfin, une centaine de lycées étaient partiellement ou totalement bloqués, à la fois contre les réformes dans l’Éducation et parfois en soutien aux gilets jaunes. A Marseille, une octogénaire a été touchée samedi par une grenade lacrymogène alors qu’elle fermait ses fenêtres. Elle est morte des suites de ses blessures lundi.

Après les affrontements de samedi, 139 personnes ont été présentées à la justice et 111 sont maintenues en détention. Parmi elles, certaines seront entendues par un juge, au tribunal de Paris, lundi et mardi. Un « Acte 4 » baptisé « Paris insurrection » sur les réseaux sociaux est déjà prévu le 8 décembre. La CGT appelle par ailleurs à « une grande journée d’actions » le 14 décembre, pour une augmentation « immédiate » des salaires, des pensions, et de la protection sociale.

Une voiture a été incendiée à Aubervilliers par des lycéens qui s’opposent à la réforme de l’éducation du gouvernement.

Une voiture a été incendiée à Aubervilliers par des lycéens qui s'opposent à la réforme de l'éducation du gouvernement.

Samedi 1 décembre, des manifestations des gilets jaunes se sont organisées dans plusieurs villes de France. Au total, plus de 136 000 personnes ont participé aux manifestations sur tout le territoire.

À Paris, des émeutes se sont déroulées dans différents endroits de la villes où des banques ont été saccagées, des magasins pillés et des véhicules incendiés. 249 feux ont été recensés ce jour-là. La journée s’est terminée par 620 gardes à vues, 133 personnes blessées, dont 23 membres des forces de l’ordre.

À Saint-Étienne, un supermarché Casino et un magasin de sport ont été pillés et une agence du Crédit agricole a été détruite.

À Puy-en-Velay, des manifestants ont investi la cour de la préfecture et y ont jeté des pneus. Les CRS ont évacué la cour mais dans la soirée des manifestants ont lancé des cocktails Molotov contre la préfecture qui a en partie brûle. Au final, 70 personnes ont été blessées, dont 18 policiers et 4 manifestants grièvement.

À Dijon, sept personnes ont été interpellées et neuf véhicules ont été incendiées dans la nuit de samedi à dimanche.

En Moselle, un commandant de police a été roué de coups par dix personnes après qu’ils lui aient enlevé son casque.

Dans le département du Gard, 16 barrages ont été recensés. Dans une ville de la région, les pneus de voitures de gendarmerie ont été crevés dans la nuit de samedi à dimanche.

A Narbonne, un site administratif de VINCI Autoroutes a été détruit et ainsi que des locaux du peloton de gendarmerie, situés au péage de Narbonne.

À Toulouse, les émeutes ont fait 57 blessés dont 48 policiers. Seize personnes ont été interpellées, dont quatre après le pillage de deux magasins du centre-ville. 

À Albi, des bouteilles et engins inflammables ont été jetés dans les jardins de la préfecture du Tarn. Le préfet a été légèrement blessé à la main.

À Bordeaux, un policier et six manifestants ont été blessés lors des affrontements. L’un des manifestants a eu la main arrachée en ramassant un objet pyrotechnique, d’autres ont été blessés par des tirs de Flash-Ball. En début de soirée, des manifestants ont allumé un feu devant la cathédrale Saint-André, utilisant notamment les palissades de protection des travaux de rénovation de la cathédrale.

À Poitiers, un « gilet jaune » a été interpellé. Des feux ont été allumés, les policiers ont usé de gaz lacrymogènes pour disperser les manifestants.

À Arles, un automobiliste est mort dans un accident de la route suite à un bouchon provoqué par un barrage.

À Marseille, 21 personnes ont été interpellées et trois policiers ont été blessés. 

La préfecture de Haute-Loire, à Puy-en-Velay, incendiée par les Gilets Jaunes (archive)

La manifestation d’avant-hier contre les travaux de la Plaine à Marseille a tourné à l’affrontement en fin de journée. 500 à 600 personnes étaient rassemblées. Après 18h, des affrontements se sont produits cours Julien. Certaines militants ont lancé des projectiles contre les forces de l’ordre. Les policiers ont tiré des lacrymogènes. Deux personnes ont été interpellées par la BAC (brigade anti-criminalité) et les CRS. La sécurité publique leur reproche des jets de projectiles et une entrave à l’action de la police.

Voir le dossier du Laboratoire d’urbanisme insurrectionnel sur la Plaine et les autres « chantiers Gaudin »

Affrontements à la

Affrontements à la

Ce samedi 24 novembre, plus de 80.000 personnes ont participé aux actions des gilets jaunes organisées en France et à La Réunion. Des rassemblements et manifestations se sont tenus à Lille, Lyon, Toulouse, Limoges, Carcassonne … ainsi qu’à Saint-Denis (à La Réunion). Des barrages filtrants, opérations escargots ou péages gratuits ont également été organisée sur des axes routiers et des zones commerciales.

A Paris, le rassemblement avait été interdit par la préfecture. Les «gilets jaunes» avait rejeté la proposition de se rassembler sur le Champ-de-Mars, refusant d’être «parqués» loin des lieux de pouvoir parisiens, et avait annoncé qu’ils manifesteraient «dans le quartier des Champs-Élysées» durant «toute la journée». La police ne pouvant les contenir dans le haut des Champs-Élysées, les manifestants ont finalement pu avancer vers la place de la Concorde où la police avait renforcé la sécurité. Des gaz lacrymogènes seront tirés et la police utilisera des canons à eau pour éloigner les gilets jaunes. De l’autre côté, les gilets jaunes ont construit des barricades avec des barrières de chantier (et en démontant entre autre des terrasses) et descellé des pavés. Vers 15h, on dénombrait huit blessés (dont 2 gendarmes).

En Belgique, plusieurs actions nocturnes se sont tenues dans la nuit du vendredi 23 au samedi 24 à Binche, Pommeroeul, Erquelinnes et Charleroi… L’autoroute A7/E19 Mons-Bruxelles avait été fermée vendredi en fin de journée. Le samedi matin, des blocages étaient organisés dans divers endroits. Plusieurs gilets jaunes se sont également rendus à l’aéroport de Bierset, en province de Liège, pour bloquer le charroi des camions et filtrer un à un les camions.

Dans le centre-ville de Charleroi, la police d’Anvers a dû venir en renfort pour faire face à une émeute. Une autopompe a été utilisée pour disperser les manifestants. Deux personnes ont été interpellées.

Camion en feu sur les Champs Elysées

Camion en feu sur les Champs Elysées

Mercredi 21 novembre, la cour d’appel de Bastia a confirmé le jugement de 500 euros d’amende à l’encontre de trois militants nationalistes, Stéphane Tomasini, Félix Benedetti et Jean Marc Dominici. Ils avaient refusé en 2017 de se plier aux obligations (notamment en termes de prélèvement d’ADN et d’empreinte biologique) liées à leur inscription au Fichier judiciaire national automatisé des auteurs d’infractions terroristes.
Les trois militants, avaient été interpellé en mai 2017 dans le cadre des poursuites liées aux manifestations nationalistes d’octobre 2016 (voir notre article).

Les affrontements à Bastia (archive)

Les affrontements à Bastia (archive)

16 policiers et 14 gendarmes, ont été blessés à la Réunion lors d’affrontements dans l’île paralysée par une cinquantaine de barrage des « gilets jaunes ». Un commandant du GIPN qui a eu une main arrachée lors de l’explosion accidentelle d’une grenade dans son véhicule alors qu’il était caillassé par de jeunes manifestants. Un escadron de 80 gendarmes décolle ce soir de Paris pour renforcer les forces de l’ordre.

Grenades en dotation dans la gendarmerie française

Grenades en dotation dans la gendarmerie française