Lyon 24 octobre

A l’initiative d’un Collectif lyonnais de soutien à Georges Abdallah, rassemblement aura lieu le 24 octobre devant le Palais de Justice de Lyon à 18h. Ce rassemblement sera suivi d’une réunion-débat à la Maison du Passage, 44 rue Saint-Georges, à 19h30.

Bruxelles 24 octobre

A l’initiative du Secours Rouge de Belgique, rassemblement devant la résidence de l’ambassadeur de France, 52 boulevard du Régent (métro Art-Loi) de 17H30 à 18H30. Un co-voiturage est organisé par le Collectif « Bassin minier » pour la Libération de Georges Ibrahim Abdallah et Solidarité Georges Lille.

Bordeaux, 24 octobre

Un concert de solidarité à l’Athénée libertaire : GUYOM TOUT SEUL (chanson française), m. (Impro par Myriam d’OPA), LORAN (slam politique). Entrée libre , 7 rue du Muguet, à partir de 19H00.

Hambourg, 24 octobre

Meeting à l’initiative du Netzwerk Freiheit für alle Politisches Gefangenen (Secours Rouge International) et du Palästina Arbeitskreis: 19H30 à l’Internationales Zentrum B5, Brigittenstraße 5. Avec un orateur palestinien.

Toulouse, 24 octobre

Meeting à l’initiative de Coup pour coup! Les deux intervenants de cette soirée, Khaled Barakat, écrivain palestinien, coordinateur de la campagne pour la libération d’Ahmad Saadat et Charlotte Kates, membre de Samidoun, organisation de défense des prisonniers palestiniens. 20H00 salle Osète, 6 rue Lt colonel Pellissier (métro Capitole).

Lannemezan, 25 octobre

Manifestation. Départ 14h devant la gare de Lannemezan (Hautes Pyrénées). Un co-voiturage est organisé à partir de Toulouse, Paris, Marseille et Bordeaux.
Départ de Bordeaux à 8h devant l’hôtel Ibis, quai de Paludate. Retour à 21h. 10€ par personne.
Départ de Toulouse à 11h au métro Basso-Cambo.

Ce matin, une centaine de syndicalistes et de militants solidaires se sont rassemblés devant le siège de la SNCB pour exiger la réintégration des 5 travailleurs – dont deux délégués syndicaux – du sous-traitant BM&S. L’accès aux parking a été bloqué et une délégation a été reçue par l’administrateur général.

Ce matin toujours, une grève spontanée a éclaté à La Louvière, générant de grosses perturbations sur le rail. Des conducteurs et accompagnateurs de train occupent les voies et sont soumis à une forte pression policière. La grève est suivie aussi dans les TEC louviérois. Le débrayage a des répercussions en cascade sur toute la dorsale wallonne, puisque aucun train ne démarre de la gare ou n’y entre. Les grévistes s’opposent aux mesures d’économies voulues par le nouveau gouvernement, qui les a estimées à 2 milliards pour la SNCB.

Bruxelles et La Louvière: Pression à la SNCB

Le 7 novembre 2012, quelques 250 ouvriers grévistes et syndicalistes de chez Ford Genk se sont rendus sur le site de l’usine Ford à Cologne où se tenait le conseil d’entreprise européen de Ford, pour protester contre la fermeture de leur usine. La police est rapidement intervenue pour les empêcher d’accéder au site et a chargé à plusieurs reprises en direction des manifestants, lesquels ont lancé des pétards. Les policiers ont répliqué à coups de matraque avant de parvenir à encercler la délégation belge.

Le tribunal de Cologne tiendra sa première audience le 20 octobre à 11H30, au palais de justice de Cologne, Luxemburger strasse 101. Un meeting solidaire se tiendra le 19 octobre au Bürgerzentrum Alte Feuerwach, Merlchiorstr. 3 (métro Ebertplatz). Une présence solidaire sera aussi assurée durant les audiences.

Allemagne/Belgique: Procès des ouvriers de Ford-Genk à Cologne

Un nouveau scanner mobile des douanes belges a été inauguré ce mercredi 15 octobre à Anvers. Installé dans une camionnette, cet outil est capable de scanner rapidement des dizaines de conteneurs dans le terminal pour navires des ports, afin de repérer principalement des cigarettes et drogues illégales.

Les services des douanes disposent déjà de trois installations fixes et trois mobiles dans les ports pour scanner les containers. Le nouveau scanner est lui relativement petit, et peut scanner jusqu’à deux mètres de profondeur.
Le scanner coûte 1,08 million d’euros, dont une importante partie a été financée par l’Office européen de la lutte antifraude (Olaf). La formation de 20 personnes à son utilisation est subsidiée en partie.

Cinq manifestants ont attaqués en justice l’état belge et la police de Bruxelles (Zone Bruxelles-Ixelles), une audience aura lieu le 22 octobre. Un rassemblement aura lieu à 8.30 devant le palais de justice et une réunion aura lieu à « l’Eau Chaude » (25, rue des renards, 1000 Bxl) à 13h en présence des avocats.

Le collège de police de la zone Bruxelles-Nord (Schaerbeek, Evere et Saint-Josse-ten-Noode) a annoncé la construction d’un nouveau commissariat d’ici 2017. Il sera situé à Saint-Josse, à l’angle des rues de Brabant, des Plantes et de la Prairie. Le coût de la construction , décidée fin 2012, de ce bâtiment de 3.815 mètres carrés a été estimé à 8,5 millions d’euros. Ce projet mixte est un partenariat public-privé, qui comprend le réaménagement du rez-de-chaussée de l’hôtel Chao Chow Palace, l’aménagement d’un commissariat et la construction de sept appartements. Le commissariat est construit pour cent policiers. Il sera ouvert 24 heures sur 24.

Le président du collège zonal de police, explique que, depuis la création de la zone, l’objectif était de développer une police de proximité et de prévoir une implantation de cinq commissariats regroupant toutes les fonctions.

Bruxelles: Un nouveau commissariat pour la zone BXL Nord

Jeudi matin, les travailleurs de l’entreprise UTI Logistics, département logistique de Dow Corning, ont décidé de débrayer pour protester protestent contre le licenciement de deux travailleurs de l’entreprise, des délégués syndicaux de la CSC Transcom. L’entreprise se situe à cheval sur Familleureux et Feluy, dans l’entité de Seneffe, et emploie près de 150 travailleurs. En 2013, la société avait déjà soulevé la colère des syndicats en voulant supprimer 500 emplois à l’échelle mondiale dont 70 sur le site de Seneffe. Finalement, seuls 20 emplois avaient été sauvés sur les 70.

Belgique: Grève contre le licenciement de deux délégués syndicaux à UTI Logistics

Un nouveau Conseil National de Sécurité, remplacera le Collège du renseignement et de la sécurité afin de lutter contre le cloisonnement et la concurrence entre services. L’accord prévoit une « flexibilité accrue » dans l’usage des nouveaux moyens technologiques, ainsi que dans l’installation des caméras de surveillance. Plusieurs mesures seront prises contre les migrants et demandeurs d’asile (le recours au privé pour les expulsions est envisagé), contre les sans-abris et des mendiants, et pour l’accélération de l’expulsion des squats.

Les négociateurs étudient encore les modalités du déploiement éventuel de l’armée « en cas de menace élevée » pour des missions de surveillance en synergie avec la police. La lutte contre les violences commises sur les policiers sera intensifiée et on s’attaquera aux plaintes « manifestement injustifiées » contre le personnel policier. La loi de 1979 concernant le service dans une armée sera revue et appliquée pour rendre punissable la participation à certains conflits étrangers et d’augmenter les sanctions prévues, notamment en ce qui concerne le retrait de la nationalité belge et pour ceux qui n’en disposent pas de l’interdiction d’accès au territoire. Enfin, une procédure de plaider coupable, soit une « comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité », sera mise en place.

La prescription sera portée à vingt ans pour « les infractions punissables de la réclusion à la perpétuité et commises en bande ». La probation et la surveillance électronique pourront être prononcées en tant que telles, comme peine autonome. Le juge pourra également, pour « certaines infractions d’une extrême gravité », assortir la peine qu’il prononce d’une période de sûreté, qui entraîne qu’aucune libération anticipée ne peut intervenir. Le gouvernement examiner également la possibilité de prononcer une peine dite « d’interdiction de territoire », à titre temporaire ou définitif, à l’encontre d’une personne non-belge. L’accord prévoit également de tester la vidéoconférence en prison avec des audiences organisées dans la prison même.