Appel général pour la mobilisation du 24 octobreAppel du Secours Rouge International pour la journée du 24 octobre

[rouge]dimanche 20 septembre, Arras[/rouge]
Rassemblement solidaire à l’appel du collectif « Bassin minier » pour la libération de Georges Ibrahim Abdallah, du Comité Solidarité Georges Abdallah Lille, du Comité « Libérez-les ! » (59 – 62) de soutien aux prisonniers et réfugiés politiques, du Collectif de soutien à la résistance palestinienne (CSRP 59), à l’occasion de l’hommage à la Résistance au « Mur des fusillés », à Arras.

Rassemblement à Arras

[rouge]mercredi 30 septembre, Milan[/rouge]
Rassemblement pour les prisonniers palestiniens en grève de la faim et pour Georges Abdallah, piazza Duomo, à Milan, à l’initiative du Fronte Palestina, avec la présence du Secours Rouge.

Milan, le 30 septembre

[rouge]samedi 3 octobre, Bordeaux[/rouge]
Stand du comité « Libérons Georges 33 » au meeting « 8 heures pour la Palestine » organisé par Palestine 33 ayant pour thème « La paix au bout de la résistance » (participation de plus de 100 personnes et prise de parole pour la libération de Georges Abdallah).

Bordeaux, le 3 octobre

[rouge]samedi 3 octobre, Milan[/rouge]
Rassemblement pour les prisonniers palestiniens en grève de la faim et pour Georges Abdallah, Piazza di Montecitorio, à l’initiative de l’Unione Democratica Arabo Palestinese.

Rome, le 3 octobre

[rouge]mardi 6 octobre, Bordeaux[/rouge]
Comme tous les premiers mardi du mois: Table de presse devant le cinéma Utopia, place Camille Julian.

Table de presse devant le cinéma Utopia à Bordeaux

[rouge]mardi 6 octobre, région parisienne[/rouge]
Collages d’affiches à Nanterre, Colombes, Montreuil, Asnières et Bagnolet par le CRI rouge et d’autres camarades.

[rouge]vendredi 9 octobre, Montpellier[/rouge]
Le collectif de soutien à Georges a organise une réunion d’information, à la CIMADE, à Montpellier. Projection du film du Secours rouge: « Georges Ibrahim Abdallah, combattant communiste libanais détenu en France depuis 1984 ». Avec Husein Abu Zaid, palestinien, membre de BDS et de l’APLR, de Valérie Cabanne, membre de l’UJFP et autres. Avec le soutien de CCIPPP34, Comité BDSFrance34, CIMADE, APLR (Association des Palestiniens du Languedoc-Roussillon), UJFP, NP A.

[rouge]samedi 10 octobre, Nanterre[/rouge]
Soirée de solidarité avec la campagne pour exiger la libération de Georges Abdallah, organisée par l’ARENE (Association des Résidents de Nanterre) à la résidence universitaire de Paris X-Nanterre.

Concert de l’Oxidoriental band à Nanterre

[rouge]vendredi 16 octobre, Bordeaux[/rouge]
A l’initiative de la Fédération de la gironde de la Ligue des Droits de l’Homme: « L’État de droit en défaut : 32 ans de prison en France, ça suffit – Liberté pour Georges Ibrahim Abdallah ». A la salle municipale Saint Augustin à Bordeaux. Avec : Noël Mamère (député de Gironde), Michel Tubiana (Président d’honneur de la Ligue des Droits de l’Homme) et Maître Jean-Louis Chalanset (avocat de Georges Abdallah)

[rouge]samedi 17 octobre, Toulouse[/rouge]
Rassemblement à 16H au Square Charles De Gaulle à l’appel du Collectif Coup Pour Coup 31, du Collectif Palestine Libre, de N PA 31 et de l’OCML VP Toulouse.

Toulouse : Palestine vivra, libérez Georges… par coup-pour-coup

[rouge]samedi 17 octobre, Bordeaux[/rouge]
« Libérez les prisonniers politiques Georges Ibrahim Abdallah et Abdullah Ocalan ». A la salle Point-du-Jour Pierre-Tachou: « Abdullah Öcalan et la situation en Turquie », intervention de l’Associtaion Franco-kurde. 18H: « Georges Adballah et la solidarité avec le peuple palestinien », conférence-débat avec Julien Salingue, docteur en science politique, auteur de plusieurs livres sur la question palestinienne. Concert du groupe kurde Cetin Zilan.

A Bordeaux, le 17 octobre

[rouge]samedi 17 octobre, Béziers[/rouge]
A l’initiative d’EuroPalestine Béziers et de BDS Béziers, avec la participation de Coup Pour Coup 31: soirée de soutien à Georges Abdallah.

Réunion publique à Béziers

[rouge]mercredi 21 octobre, Toulouse[/rouge]
Le collectif anti-impérialiste Coup Pour Coup 31 organise une soirée de soutien au bar L’Internazionale: Punch solidaire, atelier de carte postale aux prisonniers révolutionnaires, selfies pour Georges Abdallah, Jazz Manouche. Les fond récoltés lors de cette soirée serviront à la campagne pour la libération de Georges Abdallah.

[rouge]vendredi 23 octobre, New-York[/rouge]
Rassemblement à New-York devant les bureaux de G4S, principal société privée impliquée dans la gestion des personnes sionistes. Le rassemblement demande la libération d’Ahmad Saadat, de Georges Ibrahim Abdallah et de tous les prisonniers politiques palestiniens.

Semaine d’action pour Ahmad Sa’adat

Au rassemblement de New-York

[rouge]vendredi 23 octobre, Biel (Liban)[/rouge]
Cinq manifestants exigeant la libération de Georges Ibrahim Abdallah ont été arrêtés à Biel suite à leur action pour interpeller le président du Sénat français en visite à l’exposition du livre francophone.
Voir la vidéo

A Beyrouth, des poubelles ont été lancées derrière les grilles de la résidence de l’ambassadeur français.

مجموعة من تجمع "شباب ضد النظام" تقوم بالقاء اكياس من النفايات على منزل السفير الفرنسي، وذلك تأكيدا على استمرار المواجهة مع كل ما يمثل المصالح الفرنسية لحين اطلاق سراح الرفيق القائد جورج عبدالله. لن يرهبنا قمع ولا ضرب ولا اعتقال، مستمرون في نضالنا حتى تحرير رفيقنا القائد. #شباب_ضد_النظام

Posted by ‎شباب ضد النظام‎ on Friday, 23 October 2015

[rouge]vendredi 23 octobre, Bruxelles[/rouge]
A Bruxelles, quelques centaines de tracts ont été distribués pour Georges Abdallah au rassemblement pour la Palestine à 16H gare centrale. Une banderole du Secours Rouge pour Georges Abdallah a été déployée, une prise de parole en sa faveur a été faite et le slogan appelant à sa libération repris.

A Bruxelles le 23 octobre

[rouge]vendredi 23 octobre, Liège[/rouge]
A Liège, une banderole de solidarité a été accrochée ce vendredi midi à la passerelle Saucy, devant l’université de Liège, au-dessus de la N671, en solidarité avec Georges Abdallah.

Accrochage de la banderole à Liège

[rouge]vendredi 23 octobre, Bordeaux[/rouge]
Rassemblement pour Georges à Bordeaux à l’occasion d’une manifestation de soutien à la Palestine.

Bordeaux, le 23 octobre

[rouge]vendredi 23 octobre, Lille[/rouge]
Collages de l’Action antifasciste Nord Pas-de-Calais.

Collage à Lille

[rouge]samedi 24 octobre, Lannemezan[/rouge]
Manifestation de 400 personnes devant la prison.


Affiche pour la manifestation de Lannemezan


Déclaration de Georges Abdallah pour la manifestation du 24 octobre

[rouge]samedi 24 octobre, Tunis[/rouge]
Le comité tunisien de solidarité avec Georges Abdallah organise un rassemblement solidaire devant l’ambassade de France à Tunis.

Au rassemblement de Tunis

[rouge]samedi 24 octobre, Beyrouth[/rouge]
Manifestation nationale devant l’ambassade de France à Beyrouth.

Au rassemblement de Beyrouth

[rouge]samedi 24 octobre, Bruxelles[/rouge]
Rassemblement d’une quarantaine de manifestants devant la résidence de l’ambassadeur de France à Bruxelles, à l’appel du Secours Rouge.

L’affichette du rassemblement


Au rassemblement à Bruxelles

[rouge]samedi 24 octobre, Lille[/rouge]
120 personnes manifestent au départ de la Place de la République à l’appel du Comité solidarité Georges Abdallah Lille, du Collectif de soutien à la résistance palestinienne(CSRP59), du Comité « Libérez Les » de soutien aux prisonniers et réfugiés politiques(59/62), de l’UJFP, de l’Action Antifasciste NP2C, du Comité solidarité basque Lille, de l’AFPS Nord Pas de Calais, du Collectif « Bassin minier » pour la libération de Georges Ibrahim Abdallah, du PCF de Grenay, de Génération Palestine, csp59, FUIQP59/62, Coordination Communiste 59/62, MRAP, CAPJPO – Euro Palestine, Jeunes communistes du Nord Pas de Calais…

A la manifestation de Lille

[rouge]samedi 24 octobre, Milan[/rouge]
Rassemblement devant le consulat de France à Milan à l’appel du Collettivo Contro la Repressione per un Soccorso Rosso Internazionale et du Fronte Palestina. Le rassemblement rejoint ensuite une manifestation en soutien à la Palestine et pour la libération de Georges Abdallah.

A la manifestation de Milan

[rouge]samedi 24 octobre, Alger[/rouge]
Un rassemblement a eu lieu à l’appel du Parti des Travailleurs Socialistes (PST) ainsi que du FPLP et du Front Démocratique de Libération de la Palestine (FDLP).

[rouge]samedi 24 octobre, Rome et Naples[/rouge]
Initiatives solidaires du réseau Noi Saremo Tutto

A Naples


A Rome

[rouge]samedi 24 octobre, Berlin[/rouge]
Rassemblement devant l’ambassade de France à Berlin à l’appel du Demokratische Komitees Palastina de Berlin.

Rassemblement à Berlin


Au rassemblement de Berlin

[rouge]samedi 24 octobre, Zurich[/rouge]
La Jeunesse Révolutionnaire de Zurich se réuni pour soutenir Abdallah et lui écrire une lettre collective à cette occasion.

[rouge]samedi 24 octobre, Toulouse et Gaza[/rouge]
Le square et la rue Charles De Gaulle à Toulouse et à Gaza ont été rebaptisés au même moment par l’Union de la Jeunesse Progressiste Palestinienne et du collectif anti-impérialiste Coup Pour Coup 31.

La rue Charles de Gaule à Gaza rebaptisée rue Georges Abdallah

[rouge]samedi 24 octobre, Sidney (Australie)[/rouge]
Des militants se sont rassemblés pour exiger la libération de Georges Abdallah.

Initiative à Sidney

[rouge]samedi 24 octobre, Neuss (Allemagne)[/rouge]
Des militants de la communauté palestinienne se sont rassemblés pour exiger la libération de Georges Abdallah.

Neuss, le 24 octobre

[rouge]samedi 24 octobre, Buenos Aires (Argentine)[/rouge]
Rassemblement pour exiger la libération de Georges Abdallah.

Rassemblement à Buenos Aires

Voir le blog du Comité pour la libération de Georges Abdallah

Rassemblement à Arras
Milan, le 30 septembre
Bordeaux, le 3 octobre
Rome, le 3 octobre
Table de presse devant le cinéma Utopia à Bordeaux
Mobilisations pour Georges Abdallah – Octobre 2015
Concert de l'Oxidoriental band à Nanterre
A Bordeaux, le 17 octobre
Réunion publique à Béziers
Au rassemblement de New-York
A Bruxelles le 23 octobre
Bordeaux, le 23 octobre
Collage à Lille
Mobilisations pour Georges Abdallah – Octobre 2015
A Naples
A Rome
Mobilisations pour Georges Abdallah – Octobre 2015
La rue Charles de Gaule à Gaza rebaptisée rue Georges Abdallah
Initiative à Sidney
Neuss, le 24 octobre
Rassemblement à Buenos Aires

Des règlements émis par l’Union européenne l’an dernier visent à ce que tous les aéroports européens aient recours à des techniques spécialisées pour la détection d’explosifs dissimulés sur les passagers et de traces d’explosifs dans leurs bagages à main. Si la détection de traces d’explosifs se fait déjà pour les bagages de cabine depuis le 1er mars dernier, elle doit aussi se faire sur les passagers dès le 1er septembre. Dès lors, les passagers de Brussels Airport seront contrôlés de façon aléatoire sur la présence de traces d’explosifs, annonce l’aéroport. Les quelque 800 agents de sécurité chargés du contrôle et de la fouille des bagages ont par ailleurs été spécialement formés aux nouvelles procédures en vigueur. Brussels Airport a investi 1,5 million d’euros en équipements pour répondre à cette mesure.

Du côté de l’aéroport de Charleroi, ce sont 330.000 euros qui ont été investis dans l’acquisition de onze nouvelles machines pour la détection de traces d’explosifs sur les passagers et bagages à main. L’aéroport était déjà équipé de quatre machines du type. L’aéroport de Liège s’est aussi adapté à la règlementation. Une équipe certifiée pour le contrôle des passagers et de leurs bagages est ainsi actuellement opérationnelle 24h/24 au sein de l’aéroport, selon Liege Airport Security (LAS). De plus, l’infrastructure s’est dotée de deux équipements de détection de traces d’explosifs. Des fouilles manuelles auront lieu en cas de suspicion dans les bagages ou sur les passagers. Des contrôles aléatoires pourront aussi intervenir

Contrôle à l’aéroport

Contrôle à l'aéroport

Yirmes Kalnins, internaute liégeois, est convoqué ce 15 juillet aux locaux de la police judiciaire fédérale pour un commentaire sur la page d’un événement du MR, sur Facebook. Commentaire définit par Yirmes, « J’ai publié un message sur la page Facebook d’un événement organisé par le MR mettant en scène nos chers politiques Maggie De Block et Charles Michel, que je porte évidemment dans mon cœur […] Je ne me souviens plus de la phrase exacte mais c’était un truc du genre une bonne petite bombe, ça les ferait peut-être réagir, ces guignols… »

Les domiciles de plusieurs conseillés communaux liégeois du MR (droite) ont été tagués à l’aide d’un pochoir. Le contenu du tag : « Si vous n’avez rien à vous reprocher, vous n’avez rien à craidre » avec un triangle noir, symbole utilisés par les nazis pour désigner les prisonniers « asociaux » dans les camps de concentration, cette catégorie désignait entre autres les chômeurs de longue durée. La phrase taguée a été reprise à plusieurs reprises par des élus de droite ces derniers jours pour justifier la mesure de ‘contrôles surprise’ contre les chômeurs. Une plainte a été déposée pour « menaces, dégradations et incitation à la haine et à la violence ».

Le tag en question.

Le tag en question.

Plusieurs associations (Ligue des Droits de l’Homme, Progress Lawyers Network,…) ont introduit une plainte en justice contre la présence de militaires dans les rues des grandes villes belges (Bruxelles, Anvers, Liège). Ce déploiement militaire est illégal, la loi ne permettant de déployer l’armée que si deux conditions sont remplies : une menace imminente, la police régulière débordée. Aucune ne l’est.

Le Ministre de l’Intérieur a déclaré que cette loi n’était pas valable puisque c’était une décision du gouvernement « qui a toujours le droit de le faire, et certainement dans des circonstances particulières ».

Parachutistes déployés à Anvers

Le parquet de Bruxelles a interjeté appel mercredi contre la décision prise mardi par la chambre du conseil de remettre en liberté quatre hommes inculpés pour des faits de violence commis lors de la manifestation nationale du 6 novembre dernier. Les suspects demeurent dès lors en détention, a indiqué mercredi soir un porte-parole du parquet. Jeudi dernier, onze personnes soupçonnées de violences commises lors de la manifestation nationale du 6 novembre dernier avaient été interpellées en Flandre (Anvers, Louvain et Flandre orientale) et en Wallonie (région liégeoise). Parmi ces onze personnes, une est francophone et dix sont des dockers néerlandophones.

Quatre personnes interpellées jeudi dernier dans le cadre des violences commises lors de la manifestation nationale du 6 novembre, ont été remises en liberté sous conditions. Elles avaient été interpellées jeudi dernier et placées sous mandat d’arrêt. Toutes avaient été inculpées de rébellion avec la circonstance aggravante et port d’armes prohibées. L’une d’entre elles avait également été inculpée pour coups et blessures volontaires sur agents de police avec préméditation et de destruction de véhicules. Deux autres avaient quant à elles également été inculpées de vol.

Jeudi dernier, onze personnes soupçonnées de violences commises lors de la manifestation nationale du 6 novembre 2014, dont les quatre inculpées et remises en liberté, avaient été interpellées en Flandre (Anvers, Louvain et Flandre orientale) et en Wallonie (région liégeoise). Parmi ces onze personnes, une est francophone et dix sont des dockers néerlandophones. Outre les quatre personnes remises en liberté, les sept autres recevront une citation. Les six francophones seront cités le 19 février 2015 devant la 60ème chambre correctionnelle du tribunal néerlandophone de première instance de Bruxelles. Le francophone sera cité le 6 février 2015 devant la 50è chambre correctionnelle extraordinaire du tribunal francophone de première instance de Bruxelles.

Entre 2012 et 2013, le Comité permanent de contrôle des services de police (Comité P) a constaté une augmentation des plaintes déposées contre les agents: de 2.680 dossiers en 2012, ce nombre est passé à 2.885 en 2013, soit une hausse de 7,6%. 45% des dossiers sont en français, contre 55% en néerlandais. La plupart des plaintes concernent des comportements agressifs (400) et des constats jugés incorrects (362). Le nombre de dossiers transmis par le Comité P aux parquets compétents a presque doublé en comparaison avec la période 2010-2011. La plupart des plaintes ont trait aux six zones de police de Bruxelles. En Flandre, Anvers et Gand arrivent en tête, tandis qu’en Wallonie ce sont dans les villes de Charleroi et Liège que les gens se plaignent le plus de la police.

Onze personnes soupçonnées de faits de violence commis lors de la manifestation nationale du 6 novembre dernier ont été interpellées jeudi matin en Flandre (Anvers, Louvain et Flandre orientale) et en Wallonie (région liégeoise). Parmi ces onze personnes, une est francophone et dix sont des dockers néerlandophones. Une instruction judiciaire était déjà en cours pour quatre d’entre elles, qui ont été privées de liberté à la demande du juge d’instruction.

Les 7 autres suspects seront quant à eux cités à comparaitre, le 19 février pour les 6 néerlandophones et le 6 en ce qui concerne le francophone. Les premiers comparaitront devant la 60è chambre correctionnelle du tribunal de première instance néerlandophone de Bruxelles. Le second est attendu devant la 50è chambre correctionnelle extraordinaire du tribunal de première instance francophone. Ils devront entre autres répondre de faits de rébellion, port d’armes prohibées, destruction de véhicules ainsi que coups et blessures volontaires sur agents de police avec préméditation.

Le 20 novembre et le 10 décembre derniers, deux premières actions coordonnées avaient déjà eu lieu, aboutissant à l’interpellation d’une première série de personnes. Trois hommes ont entretemps été condamnés à des peines de travail de 300 heures pour avoir lancé des pierres et autres projectiles en direction d’agents de police qui encadraient la manifestation.

Dans la nuit de lundi à mardi, 28 bus des TEC Liège-Verviers ont été sabotés dans les dépôts de Rocourt, Bassenge, Omal, Geer et Warzée. Ces faits se sont produits alors que le dépôt de Jemeppe était en grève depuis quatre jours et que le mouvement allait s’étendre à une bonne partie du réseau. Des courroies ont été sectionnées, des durites endommagées, des pneus crevés et des capteurs pliés.

Lors de précédentes grèves, des actes similaires avaient déjà été constatés, mais jamais de cette ampleur. Le TEC n’a pas encore estimé le coût des dégâts, mais a déjà porté plainte, comme elle l’avait déjà fait par le passé. Les enquêtes précédemment menées n’ont cependant jamais permis de déterminer l’identité des auteurs.