Un rassemblement s’est tenu hier à 16h devant le ministère des affaires étrangères, rue des petites Carmes à Bruxelles pour condamner le blocus qu’Israël impose tant dans la bande de Gaza qu’en Cisjordanie et pour soutenir les militants belges partis en Palestine et emprisonnés à leur arrivée par les services de sécurité israéliens. Un autre rassemblement a eu lieu samedi midi devant le domicile privé du ministre des Affaires étrangères, Steven Vanackere, à Neder-over-Hembeek. Le ministre était absent lors de l’action.

38 Belges, militants pro-palestiniens sont actuellement détenus en Israël (sur 124 au total). Comme d’autres manifestants, ils voulaient se rendre en Cisjordanie mais Israël leur refuse l’accès au territoire sans motiver, pour le moment, leur enfermement. Deux militants qui ne contestent pas cette interdiction d’entrer sur le territoire israélien devaient rentrer en Belgique cette nuit. Il reste donc 38 Belges retenus en Israël. Ils sont dans deux centres de détention, l’un à Tel-Aviv, l’autre à Beer-Sheva. Parmi eux, il y a cinq jeunes filles mineures. L’ambassade belge à Tel-Aviv a pu rencontrer les détenus belges. Les services diplomatiques rapportent qu’ils sont « correctement traités ».

La porte-parole des services d’immigration d’Israël a déclaré que les manifestants « seront expulsés dès qu’il y aura des places et des vols disponibles à cet effet. Aujourd’hui, jour de shabbat, il n’y a pas beaucoup de vols et le processus d’expulsion risque de se prolonger quelque peu », a-t-elle ajouté. Israël considère qu’ils ne se trouvent pas légalement sur son territoire, bien qu’ils aient été transférés dans des prisons israéliennes faute de place au centre de rétention de l’aéroport international Ben Gourion de Tel-Aviv.

Alors qu’entre le 5 et le 15 octobre dernier se sont déroulées des dizaines d’actions en soutien de la lutte menée par Ahmad Sa’adat (secrétaire général du FPLP emprisonné depuis mars 2006), celui-ci a été condamné à six mois supplémentaires en isolement. Cela fait plus de 500 jours que Sa’adat est détenu dans ces conditions, et elles ont été prolongée jusqu’au 21 avril 2011, date où elles seront à nouveau examinées.

Des actions et des événements se sont déroulés en Palestine, mais également aux Etats-Unis, au Canada, au Danemark, en Nouvelle-Zélande, en Irlande, en Grèce, au Liban, en Syrie et ailleurs dans le monde pour exiger la fin du régime auquel est soumis Sa’adat. Malgré les centaines de lettres et de pétitions, considérant le prisonnier comme ‘une menace permanente pour la sécurité’, les autorités israéliennes ont donc décidé de prolonger de six mois les mesures d’isolement: aucun contact avec les autres prisonniers, pas d’accès à la presse, pas de livres personnels, refus régulier de visites familiales, et de celles des avocats, …

Sentry Tech, surnommé ‘Spot and Shoot’ (Repère et Tire) est l’un des derniers dispositifs d’assassinat à distance développé par la Compagnie israélienne d’armement Rafael (l’ancienne division de la recherche en armement de l’armée israélienne), et maintenant firme gouvernementale autonome.

Il est opéré par des femmes soldats de 19-20 ans, situées loin de là dans une salle d’opération, qui ont la responsabilité de cibler et d’actionner les tirs des mitrailleuses télécommandées installées sur des tours de guet tous les quelques mètres le long de la grille électronique qui encercle Gaza. Ces opératrices sont assises devant un écran de télévision à partir duquel ils peuvent contrôler l’action avec une manette de style PlayStation. Elles doivent identifier les personnes suspectes qui approchent de la clôture et, si elles y sont autorisées par un agent, les exécuter en utilisant leurs manettes. Grâce à des capteurs audio fixés sur les tours, les femmes entendent le coup lorsqu’il tue la cible.

Ces jeunes femmes été choisies pour actionner les dispositifs de meurtre à distance à cause d’une pénurie de recrues masculines dans les unités de combat d’Israël. La demande pour de tels dispositifs a été en partie alimentée par une combinaison de niveaux de recrutement en déclin et d’une population moins prête à risquer la mort au combat. Les progrès rapides de la technologie ont sonné l’alarme à l’ONU. Philip Alston, le Rapporteur spécial sur les exécutions extrajudiciaires, a mis en garde le mois dernier contre les dangers qui pourraient rapidement surgir d’une «mentalité meurtrière du style PlayStation».

L’armée israélienne, qui impose à l’intérieur de la clôture une zone interdite qui va jusqu’à 300 mètres et plus dans la minuscule enclave, a été fortement critiquée pour avoir ouvert le feu sur des civils entrés dans la zone fermée. Le système a été progressivement mis en place il y a deux ans pour la surveillance, mais ce n’est que récemment que les opératrices peuvent ouvrir le feu. L’armée a reconnu s’être servi de Sentry Tech en décembre pour tuer au moins deux Palestiniens à plusieurs centaines de mètres à l’intérieur de la clôture. L’armée israélienne, qui prévoit d’introduire la technologie le long d’autres lignes israéliennes de confrontation, refuse de dire combien de Palestiniens ont été tués par les mitrailleuses télécommandées dans la bande de Gaza. Selon les médias israéliens, il y a en plusieurs dizaines.

Tueries télécommandées à Gaza

Tueries télécommandées à Gaza

Le tribunal du district pour les affaires administratives de Bir Saba vient à nouveau de prononcer une décision refusant à Ahmad Sa’adat (secrétaire général du FPLP) les visites des membres de sa famille. De plus, le tribunal lui a interdit de recevoir les journaux en langue arabe et anglaise et ne l’a autorisé qu’à recevoir les journaux en hébreu. Depuis le 16 mars 2009, Ahmad Sa’adat n’a pu recevoir qu’une seule visite familiale. Il est évident que l’action des tribunaux fait partie intégrante de la décision politique d’Israël pour punir le militant à cause de son rôle dans le mouvement des prisonniers, ses positions politiques et son adhésion aux principes nationaux de défense du peuple palestinien et de ses droits fondamentaux. C’est tout cela qui a guidé chaque action menée contre Sa’adat par l’occupant, y compris son enlèvement de la prison de Jericho le 4 mars 2006, sa peine de trente ans, et l’isolation qu’il subi depuis le 16 mars 2009, ce qui n’est que la dernière confirmation de leur démarche.

Les forces de sécurité palestiniennes ont arrêté quatre membres du FPLP (Front Populaire de Libération de la Palestine) dans la matinée du 25 février dans le cadre de leur ‘coopération sur la sécurité’ avec l’occupation israélienne. Cette série d’arrestation fait suite à d’autres, visant le FPLP mais également d’autres factions de résistance. Khlida Jarrar, membre du Bureau Politique du FPLP a dénoncé violemment ces arrestations, disant que ce type d’action ne sert que les intérêts de l’occupant et a exigé la libération immédiate de ses camarades. Dans un communiqué, le FPLP demande l’arrêt complet de la ‘coopération sur la sécurité’ de l’Autorité Palestinienne avec l’occupant, ayant remarqué que ses militants ont été arrêtés à la demande des forces d’occupation.

Arrestation de membres du FPLP

Arrestation de membres du FPLP (archive)

Les forces d’occupation militaires ont attaqué plusieurs villes, villages et camps de la région de Naplouse, le 9 décembre 2009, s’engageant dans une campagne d’arrestations de masse visant les membres et sympathisants présumés du Front populaire pour la libération de la Palestine, deux jours avant le 42ème anniversaire du Front.

Maysar Itiani, 45 ans, militant des droits de l’homme et avocat pour les prisonniers palestiniens, a été enlevé de Rafidia, à l’ouest de Naplouse, de même que son frère Abdel-Nasser Itiani, 38 ans, après que l’armée ait fait irruption dans leur domicile. Les personnes enlevées par les forces d’occupation, présumées être des partisans du Front, comprennent Salama Moussa, 47 ans, et Wael Abu Al-Sabe, 45 ans, tous deux d’Al-Jabal Al-Shimaly, au nord de Naplouse. L’armée a également enlevé Ziad Al-Salous, qui travaille dans le bureau du camarade Abdel-Rahim Mallouh, secrétaire général adjoint du FPLP, alors qu’il tentait de passer le poste de contrôle de Huwarra, revenant à Naplouse, de Ramallah.

Les forces d’occupation ont également envahi le camp de réfugiés Al-Ein de Naplouse et ont enlevé un certain nombre de jeunes hommes, désignés comme des partisans du Front, dont Khalid Suleiman, Mohammad Dahbour, Yousef Abu Rajab et Rabie Khalifa, et trois adolescents, Rabie Abou Mounir, 16 ans, Saeed Abu Namous, 16 ans, et Mahmoud Teem, 17 ans. A Awarta, au sud de Naplouse, Nabih Awwad, 47 ans, décrit comme un partisan du Front qui travaille pour le conseil local, a été enlevé par des soldats israéliens après effraction dans son domicile à 2h du matin.

Samedi 12 décembre, plus de 70.000 personnes ont manifesté dans le stade de Gaza et les rues alentours pour commémorer la 42e année de la création du FPLP (photos). Le FPLP a vivement critiqué les deux orientations actuelles au sein des forces palestiniennes, entre ceux qui qui signent des accords sécuritaires et collaborent pour mettre fin à la résistance (comprendre le Fatah), et ceux qui utilisent la résistance pour mettre en oeuvre leur projet qui ne s’inscrit pas dans le cadre de l’unité nationale (comprendre: le Hamas et son projet islamiste); tout en rappelant que les deux parties sont responsables de la situation actuelle de division, en attaquant les libertés démocratiques et en imposant leurs lois aux dépends de l’intérêt national commun. Le FPLP a rappelé sa position: une résistance armée contre l’ennemi sioniste, la construction d’un front uni de résistance, dans le cadre d’un projet national global qui sert la lutte pour arracher les droits du peuple palestinien. Le FPLP a exprimé, tout en étant attaché à l’unité et à la non-division des forces palestiniennes, sa résolution à faire face à toutes les attaques des libertés démocratiques. Le Hamas avait refusé l’organisation de la commémoration à la place Katiba, initialement demandée par le FPLP et lieu habituel des manifestations.

Les Brigades Abu Ali Mustafa, la branche armée du FPLP, ont tiré un barrage de roquettes vers des colonies d’occupation et des sites militaires à Sumoud Kissufim, Asqelan, Sderot, le Naqab occidental, Sofa et Nahal Oz, tôt dimanche matin.

Manifestation du FPLP

Manifestation du FPLP (archive)

Manifestation du FPLP
Manifestation du FPLP (archive)

Le 8 novembre, le secrétaire général du Front Populaire de Libération de la Palestine a adressé un courrier à toutes les organisations de soutien, en réponse à la journée internationale d’action qui s’est tenue le 22 octobre dernier. Ahmad Sa’adat se trouve toujours actuellement en détention à la prison de Ramon, où il subi un régime d’isolation strict, régime prolongé de six mois il y a peu. Voici quelques extraits de cette lettre:

La politique d’isolation est une violation flagrante des lois internationales humanitaires et des droits de l’homme d’interdiction de la torture. Cette politique prend forme également, dans la pratique, de destruction de la personnalité humaine, et dans certains cas, est un mécanisme pour exécuter la peine de mort contre ceux qui se battent pour la liberté, particulièrement ceux qui ont purgé de longues peines d’isolation tels que Hassan Salameh, Jamal Abu Hija, Ibrahim Hamed, Ahmed al-Maghrabi, Abdullah al-Barghouthi et d’autres.

La politique d’isolation, cette peine de mort imposée aux prisonniers et détenus, n’a aucune base légale. C’est une décision des services de renseignements de l’occupation, sous le couvert d’un dossier secret qui ne peut être vu de personne, sauf du juge, qui n’a jamais ni refusé aucune décision d’isolation d’un prisonnier, ni rendu clair le mécanisme pour l’usage de cette peine d’isolation.

La politique d’isolation vise l’essence même des droits humains et humanitaires – le droit aux relations sociales – à travers l’isolation de l’environnement immédiat et signifie la privation même des droits minimaux imposés par les lois de l’Administration Pénitentiaire Israélienne, tels que l’accès à la presse, aux livres, ainsi qu’aux vêtements. C’est également un punition collective imposée aux familles des prisonniers, sachant que toute décision d’isolement d’un prisonnier s’accompagne d’une interdiction de visites familiales durant trois mois.

Ahmad Sa’adat termine sa lettre par un appel: La lutte des prisonniers pour la liberté est une partie de la lutte de notre peuple qui ne prendra fin qu’avec la défaite de l’occupation du sol palestinien. Je lance un appel aux institutions, aux activistes et aux organisations pour qu’ils développent un plan d’action afin de soutenir la lutte des prisonniers en général, et celle des prisonniers subissant l’isolation en particulier.

Déclaration du Front Populaire pour la Libération de la Palestine:

Ahmed Saadat, secrétaire général du FPLP est en grève de la faim depuis deux semaines (11 juin) afin de protester contre les abus de la politique d’emprisonnement de l’administration sioniste et la mise en isolement des prisonniers palestiniens. Le régime sioniste a intensifié sa campagne d’abus et de traitement inhumains des prisonniers palestiniens juste après son attaque criminelle et terroriste contre Gaza de décembre 2008 à janvier 2009.

La mise à l’isolement total depuis mars 2009 du camarade Saadat, qui souffre déjà d’un état de santé difficile et précaire, a été récemment prolongé. Le camarade Saadat a donc pris cette décision afin de faire pression sur l’administration des prisons pour faire annuler cette décision et protester contre la politique d’isolement qui vise tous les prisonniers palestiniens. Les abus contre les prisonniers palestiniens, qui ont gagné l’estime des peuples au cours des années de luttes vaillantes et héroïques sur les lignes de front contre l’occupant, consistent à la privation des périodes de sommeil, à la suppression des visites des familles, à la confiscation des effets personnels des prisonniers… et à l’utilisation régulière des cellules d’emprisonnement en isolement total. Les abus sont systématiques quand il s’agit des responsables politiques, et ce afin d’essayer de casser la résistance dans le rapport de force des prisonniers qui se sont organisés et qui font désormais partie de l’épine dorsale du mouvement de résistance nationale du peuple palestinien.

Le FPLP a déclaré que les autorités sionistes ont la pleine responsabilité de la vie et de la santé du camarade Saadat. Le FPLP a réclamé l’intervention rapide des associations des droits de l’homme et des mouvements internationalistes pour protéger la vie du camarade Saadat et pour défendre les droits de tous les prisonniers palestiniens. La campagne Ahmed Saadat libre a publié un rapport de la solidarité avec le camarade Saadat, réclamant la justice et sa libération ainsi qu’une liste sur toutes les actions urgentes à mener concernant les prisonniers et leurs demandes. Ce rapport a été publié par Khaled Issa et Qaraqa Tayseer, ainsi que par la communauté palestinienne européenne, tous exigent la solidarité, la défense et la libération de Ahmad Saadat, mais aussi des 11.000 prisonniers qui ont combattu l’occupant criminel sioniste.

Gloire à nos martyrs, Gloire à la Palestine

19 juin 2009.

Lille, 29 septembre

Rassemblement sur la grande place de Lille à l’initiative de Solidarité Georges Lille.

Lannemezan, 30 septembre

Plusieurs délégations de comités de soutien à la libération de Georges Ibrahim Abdallah se sont rassemblées devant la prison de Lannemezan pendant l’audience qui statuait sur la dernière demande de libération.

Loos, 30 septembre

Au pied des terrils jumeaux de Loos-en-Gohelle (près de Lens) surplombant la rocade minière, à l’initiative du Collectif « Bassin minier » pour la Libération de Georges Ibrahim Abdallah.

Paris, 18 octobre

A l’initiative de Convergence Palestine et avec le collectif anti-impérialiste Coup pour coup et d’Action Antifasciste Paris-banlieue, rassemblement place de la République et réalisation d’une fresque.

Beyrouth (Liban), 22 octobre

Rassemblement avec prise de parole de l’écrivain palestinien Khaleb Barakat, coordinateur de la campagne pour la libération d’Ahmad Saadat

Bordeaux, 24 octobre

Un concert de solidarité à l’Athénée libertaire : GUYOM TOUT SEUL, m. , et LORAN.

Pau, 24 octobre

Trois militants de Libertat s’enchainent aux grilles de la Préfecture des Pyrénées Atlantiques (ils sont arrêtés et amenés au commissariat).

Lyon, 24 octobre

A l’initiative d’un Collectif lyonnais/Sud-Est de soutien à Georges Abdallah, rassemblement et table de presse devant le Palais de Justice de Lyon.

Perpignan, 24 octobre

Rassemblement devant le tribunal Place Arago. A l’initiative de la CNT 66, CNT-SO 66, Comité BDS 66, AFPS, LDH 66.

Rennes, 24 octobre

Rassemblement place du Parlement. A l’initiative de l’AFPS, Breizhistance, collectif BDS Rennes, PCF-Rennes, SLB, UJFP.

Toulouse, 24 octobre

Meeting du collectif anti-impérialiste Coup Pour Coup 31. Les deux intervenants de cette soirée, Khaled Barakat, écrivain palestinien, coordinateur de la campagne pour la libération d’Ahmad Saadat et Charlotte Kates, membre de Samidoun, organisation de défense des prisonniers palestiniens.

Bruxelles (Belgique), 24 octobre

A l’initiative du Secours Rouge de Belgique, rassemblement devant la résidence de l’ambassadeur de France, 52 boulevard du Régent. Un co-voiturage est organisé par le Collectif « Bassin minier » pour la Libération de Georges Ibrahim Abdallah et Solidarité Georges Lille.

Zürich (Suisse), 24 octobre

Accrochage de banderoles par les Revolutionäre Jugend Zürich, Revolutionärer Aufbau et le Rote Hilfe Schweiz (Secours Rouge de Suisse)

Hambourg (Allemagne), 24 octobre

Meeting à l’initiative du Netzwerk Freiheit für alle Politisches Gefangenen (Secours Rouge International) et du Palästina Arbeitskreis à l’Internationales Zentrum B5. Avec un orateur palestinien.

Tunis (Tunisie), 24 octobre

Rassemblement devant l’ambassade de France avenue centrale Habib Bourguiba, à l’appel du Comité Tunisien de Solidarité avec Georges Abdallah.

Nantes, 25 octobre

Rassemblement place de la Petite Hollande. A l’initiative du Comité Libérez Georges.

Orléans, 25 octobre

Rassemblement place du Martroi. A l’initiative des JC Orléans.

Lannemezan, 25 octobre

Manifestation de 300 personnes à partir de la gare de Lannemezan jusqu’à la prison. Des covoiturages avaient été organisés à partir de Toulouse, Paris, Marseille et Bordeaux.


A Lannemezan : Libérons Georges Abdallah ! von coup-pour-coup

Milan (Italie), 25 octobre

Rassemblement Piazza Cadorna à l’initiative de Fronte Palestina et de l’Assemblea di lotta uniti contro la repression (avec la participation du Collettivo contro la repressione per un Soccorso Rosso Internazionale).

Gaza (Palestine), 25 octobre

Meeting organisé par le Front Populaire de Libération de la Palestine pour la libération de Georges et d’Ahmad Sa’adat.

Bordeaux, 5 novembre

Rassemblement place Pey Berland à l’appel du comité Libérons Georges 33.

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Lille, 5 novembre

Rassemblement Place de Buisses à l’initiative de Solidarité Georges Lille.

Beyrouth, 5 novembre

Rassemblement devant l’ambassade de France, avec sit-in, tractage et peintures au pochoir sur l’enceinte de l’ambassade.

Awkar (Liban), 8 novembre

Rassemblement devant l’ambassade des États-Unis à l’appel de la Campagne internationale.

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Des dizaines d’étudiants à l’Université de Bir Zeit à Ramallah se sont opposés à la visite du Consul français à l’Université le mercredi 19 novembre et ont appelé à la libération de Georges Abdallah.

Journées d’action (automne 2014)
Journées d’action (automne 2014)
Journées d’action (automne 2014)
Journées d’action (automne 2014)
Journées d’action (automne 2014)
Journées d’action (automne 2014)
Journées d’action (automne 2014)
Journées d’action (automne 2014)
Journées d’action (automne 2014)
Journées d’action (automne 2014)
Journées d’action (automne 2014)
Journées d’action (automne 2014)
Journées d’action (automne 2014)
Journées d’action (automne 2014)
Journées d’action (automne 2014)
Journées d’action (automne 2014)
Journées d’action (automne 2014)
Journées d’action (automne 2014)
Journées d’action (automne 2014)

Athènes, Grèce, 12 octobre

Plusieurs grands dazibaos appelant à la libération de Georges Abdallah sont collés dans la ville.

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New-York, USA, 14 octobre

Rassemblement à 16h00 devant la Mission permanente de la France aux Nations Unies, 245 E. 47th St, à l’initiative de Samidoun.

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Magdeburg, Allemagne, 15 octobre

Soirée solidaire co-organisée par la section locale du Rote Hilfe et le Netzwerk Freiheit für alle Politische Gefangenen, à partir de 18h00 à l’Infoladen de Magdeburg, Pushkin Strasse 20.

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Paris, 15 octobre

Rassemblement et tractage de 10h à 13h au marché de Barbès et présence à partir de 14h à « Palestine debout » (place de la République)

Marseille, 15 octobre

Concert co-organisé par le Comité PACA Georges Abdallah et le FUIQP.

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Toulouse, 15 octobre

Intervention à la commémoration des massacres du 17 octobre.

Paris, 16 octobre

Rassemblement et tractage de 10h à 13h au marché de Saint‐Ouen et présence à partir de 14H au cabaret d’urgence «pour le MEDEF, tous les coups sont permis» avec la Compagnie Jolie‐môme (Cartoucherie – Epée de bois à Vincennes) en solidarité avec les inculpés du mouvement social.

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Grenay, 17 octobre

Rassemblement devant l’hôtel de ville sur le son fronton duquel flotte désormais une banderole demandant la libération de Georges Abdallah, à l’initiative de la municipalité de Grenay, la section PCF et le comité « Libérez-les ! » (59 – 62).

Paris, 17 octobre

A partir de 18h: Rassemblement et tractage au Pont de Saint-­Michel pour faire le lien entre le massacre des Algériens 17 octobre 1961 et la cause de Georges Abdallah.

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Paris, 18 octobre

A partir de 18h: Rassemblement devant la direction de l’administration pénitentiaire, 35 rue de la Gare, 75019 Paris.

Saint-Etienne, France, 18 octobre

Commémorations des massacres du 17 oct. 1961 par le FUIQP.

Toulouse, le 19 octobre

Meeting organisé par le collectif anti-impérialiste Coup Pour Coup 31 à partir de 19H au Blind Tiger, 61 rue Pargaminière.

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Thessalonique, Grèce, 19-20 octobre

Meeting au Ιουστινιανού 11 organisé par Samidoun avec la participation du combattant palestinien Mohammed Khatib, la 19 à partir de 20h, le 20 à 13h.

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Paris, 19 octobre

De 12h à 15h: Présence et tractage à la faculté de Saint-­Denis

Tunisie, 19 octobre

Affiche du FPLP pour la libération de Georges Abdallah

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Bruxelles, 19 octobre

Plusieurs bâtiments (palais de justice, gare du midi, …) sont été tagués d’appels à la libération de Georges Abdallah

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Milan, Italie, 20 octobre

Meeting co-organisé par la section milanaise du Secours Rouge International, Samidoun et le Fronte Palestina à 16h à l’Universita Statale.

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Paris, 20 octobre

De 17h30 à 20h: Rassemblement et tractage à Belleville

Montréal, Canada, 20 octobre
Rassemblement des membres et sympathisants du Secours Rouge du Canada – section Québec.

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Martigues, 20 octobre

Soirée-projection-échanges à 18h30 au café associatif « Rallumeurs dʼEtoiles » quai Besson à Martigues, co-organisée par le Comité PACA Georges Abdallah et le FUIQP.

Bruxelles, Belgique, 20 octobre

Départ à 21h de la délégation belge du Secours Rouge International pour la manifestation de Lannemezan via Toulouse

Istanbul, Turquie, 21 octobre

Rassemblement devant le consulat français à Istanbul à l’appel de Samidoun.

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Paris, 21 octobre

A partir de 18h: Rassemblement place de la République. avant le départ Départ à 22h du bus pour la manifestation de Lannemezan

Hambourg, Allemagne, 21 octobre

Rassemblement et meeting co-organisé par la section de Hambourg du Secours Rouge International avec la Bündnis gegen imperialistische Aggression à 19h30, à l’Internationales Zentrum B5, (Brigittenstraße 5, St. Pauli).

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Vienne, Autriche, 21 et 22 octobre

Rassemblements devant l’ambassade de France à Vienne à l’appel de Samidoun, le 21 à 15h00 et le 22 à 12h00.

Athènes, Grèce, 21 octobre

Rassemblement devant l’ambassade de France à Athènes à l’appel de l’Assemblée des anarchistes-communistes pour la contre-attaque de classe contre l’UE, l’Assemblée de solidarité avec les prisonniers politiques, les combattants emprisonnés et poursuivis, Ligne rouge et le Réseau de solidarité à la Résistance palestinienne. Des dizaines de personnes se sont rassemblées, la police avait déployé des équipes de policiers anti-émeute tout autour de la manifestation. Voir les photos

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Bordeaux, 21 octobre

Projection du film « Stop the Wall » de Muriel Jacoub et Antonin Dagorn, suivie d’un débat avec Julien Salingue, au cinéma Utopia à 20h30, organisée par le Collectif Libérons Georges 33.

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Toulouse, 21 octobre
Soirée solidaire organisée par Coup pour Coup 31.

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Lannemezan, 22 octobre

Quelques 400 manifestants ont défilé comme chaque année de la gare à la prison de Lannemezan en solidarité avec Georges Ibrahim Abdallah. Notre section belge du Secours Rouge International a manifesté cette année avec l’OCML Voie Prolétarienne dans un bloc commun « De la Palestine au Kurdistan, Vive la Résistance des peuples », en soutien au Bataillon International de Libération au Rojava, ainsi qu’à Georges. Les sections italienne et turque du SRI étaient également présentes ainsi que Coup pour Coup 31 et le Secours Rouge Arabe.

Bloc VP/SRI

Lyon, 22 octobre

Rassemblement de 15h00 à 17h00 devant le Palais de justice de Lyon, quai Romain Rolland organisé par le Collectif 69 de Soutien au Peuple Palestinien.

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Tunis, Tunisie, 22 octobre

Rassemblement devant l’ambassade de France à 13h00 (début du rassemblement au milieu de l’avenue Habib Bourguiba puis marche direction l’Ambassade de France) à l’appel du Comité de solidarité tunisien pour la libération de Georges Abdallah.

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Berlin, Allemagne, 22 octobre

Rassemblement devant l’ambassade France à partir de 13h00, 1 Pariser Platz, à l’appel du Demokratische Komitees Palästina.

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Beyrouth, Liban, 22 octobre

Rassemblement devant le Ministère des affaires étrangères, Palais Bustros, à 11h00, pour exiger la libération de Georges Abdallah.

Chicago, USA, 22 octobre

Message de solidarité de l’International League of Peoples’ Struggle

Gaza, Palestine, 24 octobre

Meeting organisé par la commission prisonniers du FPLP de la Bande de Gaza dés 10h du matin devant le bâtiment de la Croix-Rouge à Gaza.

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Ramallah, Palestine, 25 octobre

Meeting de solidarité « Georges Ibrahim Abdallah, une question palestinienne ». L’évenement FB.

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Haïfa, Palestine, 26 octobre

Rassemblement devant le consulat de France à l’appel du Committee for the Freedom of Prisoners

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Paris, 28 octobre

Rencontre avec le comité de Bagnolet de solidarité avec Georges Abdallah (19h00) et concert de soutien (21h). 3 rue de l’Oise, Paris 19e.

Rome, Italie, 28 octobre

Projection et dîner au Centre Populaire Garbatella.

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Semaine internationale d’action pour la libération de Georges Abdallah (octobre 2016)
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Semaine internationale d’action pour la libération de Georges Abdallah (octobre 2016)
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Semaine internationale d’action pour la libération de Georges Abdallah (octobre 2016)
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Semaine internationale d’action pour la libération de Georges Abdallah (octobre 2016)
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Semaine internationale d’action pour la libération de Georges Abdallah (octobre 2016)
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Semaine internationale d’action pour la libération de Georges Abdallah (octobre 2016)
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