La Coordination Anti-répression (regroupant le Comité Anti-répression, issu du Comité des plaignants du 23 février 2003, le Secours Rouge/APAPC et l’Espace Marx), a organisé une soirée d’information en collaboration avec le Centre d’information basque Txalaparte sur le thème ‘Pays basque, résistance et répression‘. Animé par un représentant de l’Espace Marx, la soirée a commencé par un exposé de la représentante du Comité Anti-répression sur le thème: ‘Pays-Basque: laboratoire de la répression en Europe‘. La situation des militants basques détenus en Belgique a été ensuite exposée par un représentant de notre Secours Rouge/APAPC. Une vidéo réalisée par la gauche indépendantiste basque, intitulée ‘Temps du peuple – Temps de la paix’, a servi d’introduction au représentant du Centre d’information basque Txalaparta pour aborder la question des perspectives de solution politique pour le Pays-Basque. La quarantaine de personnes présentes ont participé au débat qui a suivi.

Le flyer de la conférence

Le flyer de la conférence

Bombage pour Camenisch

Reçu sur la boîte mail du SR: ‘Ce dimanche 16 novembre, nous avons cadenassé et barricadé la porte de la Chambre de commerce suisse en Belgique, 24 rue des Nations, à 1050 Bruxelles, en solidarité avec Marco Camenisch. Marco est un militant révolutionnaire vert-anarchiste détenu en Suisse dans des conditions telles que plusieurs campagnes internationales de solidarité ont été organisées pour le soutenir, rassemblant des initiatives en France, Italie, Suisse, Argentine, Espagne et Belgique. C’est ainsi qu’un premier rassemblement de solidarité avec Marco Camenisch s’était tenu devant la chancellerie de Suisse de Bruxelles: pendant une heure, le 18 janvier, une vingtaine de membres et de sympathisants du Secours Rouge/APAPC et de l’Anarchist Black Cross/Gent avaient déployé sur le trottoir de la rue de la Loi des calicots en solidarité avec Marco. Un rassemblement similaire avait été prévu le 3 novembre, mais la police de Bruxelles est intervenue: les dix premiers manifestants furent encerclés et interpellés par des policiers en tenue anti-émeute, les calicots furent confisqués, les identités relevées, etc. La répression immédiate d’une manifestation pacifique aussi réduite (dans le temps, dans nombre des participants, dans les dérangements qu’elle pouvait occasionner) donne la mesure du caractère formel de nos ‘libertés‘ [une problème de logiciel et/ou de transmission a rendu illisible la suite du document]