A l’occasion de la visite à Bruxelles de la déléguée du Secours Rouge d’Espagne, la camarade Betta, qui a passé 14 années dans les prisons d’Argentine et d’Espagne.

Le Secours Rouge vous invite:

Le jeudi 28 janvier à partir de 19h, à une soirée ‘mémoire’ consacrée à la guerre civile espagnole dans la salle de cinéma du Pianofabriek, avec projection à 19h30 du film ‘Mourir à Madrid’ de Frédéric Rossif (1963) retraçant l’histoire de la guerre d’Espagne. La projection sera suivie d’une discussion et du verre de l’amitié. Un stand de livres sur la guerre d’Espagne sera tenu par la librairie Aden.

Affiche du film ‘Mourir à Madrid’

Le vendredi 29 janvier à 11h, au cimetière de Saint-Gilles, au dépôt d’une gerbe de fleur au monument des antifascistes belges morts en Espagne dans les rangs des Brigades Internationales. Rendez-vous pour le départ de Saint-Gilles brasserie Verschueren (parvis St-Gilles) à 10h. Rendez-vous sur place, à Uccle, au café Le Silence, face à l’entrée du cimetière, 70 rue du Silence (tram 51 direction ‘silence’, avant-dernier arrêt ‘crematorium’).

Affiche pour les prisonniers espagnols

Le vendredi 29 janvier à 19h30, à une soirée d’information sur la situation actuelle des prisonniers politiques communistes et antifascistes détenus par l’Etat espagnol. Cette activité aura lieu dans la salle de réunion du Pianofabriek, et sera suivie d’une discussion sur les possibilités de faire converger en Belgique les solidarités avec les différents groupes de prisonniers antifascistes détenus par l’Etat espagnol (gauche nationaliste basque, anarchistes, etc.).

Toutes ces activités sont ‘entrée libre’. Le Pianofabriek se situe au 35 rue du Fort, métro Parvis de Saint-Gilles.

Affiche du film 'Mourir à Madrid'

Toutes les marchandises de Sodexo ont été expropriées à la cantine de l’ULB. Le communiqué de cette action pointe les profits réalisés par Sodexo noptament dans les centres fermés. Le 29 novembre dernier, les vitres du siège bruxellois de Sodexo avaient été brisées pour les mêmes raisons.

Lire le communiqué de l’action

A l’occasion de la visite à Bruxelles de la déléguée du Secours Rouge d’Espagne, la camarade Betta, qui a passé 14 années dans les prisons espagnoles comme militante du PCE(r),

Le Secours Rouge vous invite:

Le jeudi 28 janvier à partir de 19h, à une soirée ‘mémoire’ consacrée à la guerre civile espagnole dans la salle de cinéma du Pianofabriek, avec projection à 19h30 du film ‘Mourir à Madrid’ de Frédéric Rossif (1963) retraçant l’histoire de la guerre d’Espagne. La projection sera suivie d’une discussion et du verre de l’amitié. Un stand de livres sur la guerre d’Espagne sera tenu par la librairie Aden.

Le vendredi 29 janvier à 11h, au cimetière de Saint-Gilles, au dépôt d’une gerbe de fleur au monument des antifascistes belges morts en Espagne dans les rangs des Brigades Internationales. Rendez-vous pour le départ de Saint-Gilles brasserie Verschueren (parvis St-Gilles) à 10h. Rendez-vous sur place, à Uccle, au café Le Silence, face à l’entrée du cimetière, 70 rue du Silence (tram 51 direction ‘silence’, avant-dernier arrêt ‘crematorium’).

Le vendredi 29 janvier à 19h30, à une soirée d’information sur la situation actuelle des prisonniers politiques communistes et antifascistes détenus par l’Etat espagnol, et notamment sur la situation du secrétaire général du Parti Communiste d’Espagne (reconstitué): Manuel Perez Martinez alias ‘camarade Arenas’. Cette activité aura lieu dans la salle de réunion du Pianofabriek, et sera suivie d’une discussion sur les possibilités de faire converger en Belgique les solidarités avec les différents groupes de prisonniers antifascistes détenus par l’Etat espagnol (gauche nationaliste basque, anarchistes, etc.). Une brochure sur la situation des prisonniers communistes et antifascistes en Espagne sera publiée à cette occasion.

Toutes ces activités sont ‘entrée libre’. Le Pianofabriek se situe au 35 rue du Fort, métro Parvis de Saint-Gilles.

Drapeau espagnol

Drapeau espagnol

Le groupe de travail ‘BNG’ (Banque de données nationale générale) devrait produire pour juin un projet de loi et un arrêté royal relatif aux fichiers policiers. Ce groupe est composé de représentants du Collège des procureurs généraux, des parquets, des polices fédérales et locales et du centre de crise et le texte devrait être déposé sur la table du gouvernement Leterme II ‘d’ici l’été‘, assure le cabinet du ministre de la Justice, Stefan De Clerck.

Les 40.000 policiers locaux et fédéraux recueillent, traitent et stockent déjà une multitude de données à caractère personnel. Ces informations, parfois très sensibles, sont enregistrées dans la BNG. Celle-ci contient déjà plus de 11 millions de ‘faits concrets’, 1,6 million de personnes, 1,8 million de véhicules, 15.000 organisations, etc. Certaines sont superflues, dépassées ou carrément faussse. Car le système est loin d’être infaillible. Problèmes de mise à jour, encodages disparates (papier ou électronique), consultations abusives… La BNG fait l’objet régulièrement de plaintes (Comité P ou R, Inspection générale, Commission de la vie privée…). Ce fichage des biens et des personnes est jusqu’à présent encadré par une simple circulaire (dite ‘MFO-3’). La loi sur la fonction de police du 5 août 1992 permet aux forces de l’ordre d’exploiter ces données personnelles si celles-ci présentent un ‘intérêt concret‘. Mais ce concept est vague, de l’avis même des experts.

En 2008, l’avant-projet d’arrêté royal porté par les ex-ministres Dewael (VLD) et Vandeurzen (CD&V) avait suscité une vague de protestations (Ordre des barreaux, LDH, CAL, Mrax…) et suscité un gros débat au Parlement. Obligeant le ministre actuel à revoir sa copie. Le texte permettait de traiter des données aussi sensibles que la race, les opinions politiques, les appartenances religieuses ou philosophique, la santé physique et psychiques, l’orientation sexuelle, etc. Celui-ci visait tout citoyen ‘de plus de 14 ans‘; tout membre ‘d’un groupement présentant un intérêt particulier pour l’ordre public‘, etc. Autant d’éléments que la police souhaite acquérir.

Ce jeudi 7 janvier, l’État turc, partie ‘civile’ dans le procès DHKP-C, s’est pourvu en cassation, suite à la décision de la Cour d’appel de Bruxelles du 23 décembre dernier. Ce pourvoi ne pouvant concerner que les aspects civils de l’affaire pour les dédommagements financiers réclamés. Il est à noter que jusqu’à présent, l’État turc a toujours demandé un euro symbolique, un euro qui lui a d’ailleurs été octroyé par la Cour d’appel. Le verdict prononcé par les trois juges de Bruxelles constitue une victoire définitive pour Bahar Kimyongür, Musa Asoglu, Kaya Saz, Sukriye Akar, Ferihye Erdal et Zerrin Sari qui demeureront, quoi qu’il arrive, libres.

Le verdict prononcé le 23 décembre met un terme à la majeure partie des éléments du dossier DHKP-C. Il confirme notamment, de manière définitive, l’acquittement de Bahar Kimyongür et la non-utilisation de la loi antiterroriste dans ce procès.

Ce mercredi 6 janvier à 9 heures, devant le tribunal des référés de Bruxelles, a eu lieu le procès en appel de Luk Vervaet (photo) contre l’Etat belge. Le professeur, militant pro-palestien, qui ne peut plus enseigner le néerlandais aux prisonniers en raison des ses prises de position critiques envers l’administration pénitentiaire, entendait obtenir la suspension de l’interdit professionnel le frappant depuis le 10 août 2009 et avoir accès à son dossier personnel, qui est toujours tenu secret.

Sur ces deux points, le 16 octobre dernier, le tribunal de première instance de Bruxelles avait donné raison à l’Etat belge et au Ministre Declerck. Un recours a également été introduit auprès du Conseil d’État. L’arrêt de la Cour d’appel des référés sera publié le 20 janvier. Il n’y a pas de rassemblement prévu puisqu’il n’y aura pas d’audience prévue ce jour-là, mais le 6 février 2010 à partir de 16h au café, de Monk (Rue Sainte Catherine 42 – 1000 Bxl) aura lieu le premier Salon Solidaire. Ce Salon Solidaire sera dédié à Luk Vervaet: une ambiance désinvolte, les amis et les sympathisants se réunissent. Quelqu’un se lèvera parfois pour déclamer un poème, Bahar Kimyongür jouera le Saz turc, il y aura de l’accordéon, des mots de solidarité, des conversations, des idées et projets pour l’avenir et bien sûr, quelque chose à manger ou à boire.

Manifestation pour Luk Vervaet

Manifestation pour Luk Vervaet

La porte-parole de ministère de l’Intérieur, Margaux Donckier, a déclaré mercredi que la sécurité des sommets de l’Union européenne sera renforcée, suite à l’action surprise de Greenpeace en décembre. Les chefs de gouvernement et le reste de leur délégation suivront désormais deux itinéraires différents. Onze activistes de Greenpeace portant de fausses accréditations de VIP avaient été arrêtés en décembre en surgissant de limousines à proximité de plusieurs chefs d’Etats.

Un rapport sur les événements, rendu public par le ministère de l’Intérieur a blâmé ‘une certaine routine’ dans le chef des responsables de la sécurité. Des plans d’action globaux seront dorénavant établis pour chaque rencontre de haut niveau. La coopération entre la police, le personnel de sécurité du bâtiment accueillant l’événement et les gardes du corps des délégations diverses sera renforcée. Des restrictions seront apportées à la taille des délégations nationales. La première réunion qui se déroulera conformément aux nouvelles procédures aura lieu le 11 février, quand les 27 chefs d’Etat discuteront une nouvelle stratégie économique de 10 ans.

Alors que l’Etat turc a décidé de se pourvoir en cassation contre la décision prise dans le procès DHKP-C, le parquet fédéral a annoncé ce matin qu’il ne se pourvoira pas en cassation. L’arrêt prononcé par la cour d’appel de Bruxelles fin décembre n’a retenu aucune des préventions de participation à une organisation criminelle ou à un groupe terroriste. Trois des six prévenus ont néanmoins écopé de peines avec sursis pour association de malfaiteurs.

Fin 2009, la cour d’appel de Bruxelles (photo) avait écarté les préventions de terrorisme à l’encontre des militants et sympathisants du DHKP-C. Trois d’entre eux avaient toutefois été condamnés pour association de malfaiteurs, écopant de peines avec sursis. L’Etat turc a décidé de se pourvoir en Cassation contre cette décision. Le parquet fédéral devra décider jeudi s’il saisit lui aussi la Cour de Cassation pour cette affaire où l’Etat turc s’est constitué partie civile.

Au procès DHKP-C à Bruxelles

Au procès DHKP-C à Bruxelles