La lutte  contre la réforme des retraites en était, ce samedi, à son 24e jour. Plusieurs syndicats avaient appelé à des manifestations samedi, rejoints par les Gilets Jaunes, notamment dans la capitale. Un cortège est ainsi parti de la place de la Bourse peu avant 12h30 pour rejoindre la gare du Nord et la manifestation interprofessionnelle des unions régionales de la CGT, FO, Solidaires et de la FSU qui s’est ensuite dirigée vers Châtelet. Des pancartes proclamaient «Âge pivot, âge tombeau », en écho à l’ « âge d’équilibre » assorti d’un bonus-malus que le gouvernement veut fixer à 64 ans en 2027, ou encore « Grève, blocage, Macron dégage ». Près du centre Georges-Pompidou, devant le théâtre du Renard des manifestants cagoulés, ont dressé des barricades avec des barrières de chantiers et mis le feu à des poubelles. Les forces de l’ordre ont fait usage de gaz lacrymogène et ont essuyé des jets de projectiles. Les forces de l’ordre ont également utilisé des drones pour visualiser les mouvements de foule dans les rues étroites entre le centre Pompidou et l’hôtel de ville. Six personnes ont été interpellées, selon la préfecture de police. D’autres manifestations ont eu lieu en province, et notamment à Nancy (Meurthe-et-Moselle) où les manifestants ont été repoussés par les forces de l’ordre place de la République.

Incidents à Päris hier samedi

Des affrontements violents ont éclaté entre un groupe de manifestants et les forces de police devant la banque centrale du Liban, alors que le pays traverse actuellement sa pire crise économique et financière depuis des décennies, ce qui a provoqué des protestations dans tout le pays.  Les manifestants ont également distribué des tracts disant  » Nous ne payons pas « , appelant tous les Libanais à cesser de payer des taxes et des frais au gouvernement et à s’abstenir de rembourser les prêts aux banques jusqu’à ce qu’ils puissent obtenir la totalité de leurs droits. Les forces de sécurité sont intervenues et ont déclenché de fortes confrontations avec les manifestants lorsqu’ils ont tenté de bloquer la route.

Devant le siège de la banque du Liban

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Un soldat de l’armée gouvernementale a été tué et six autres ont été blessés lors d’une attaque lancée lundi par la guérilla maoïste dans un village isolé des environs de Labo City, dans la province de Camarines Norte. Un peloton de la 9e division d’infanterie patrouillait à 9 h 20 à Barangay Baay lorsqu’il est tombé dans une embuscade. Les guérilleros ont fait exploser un IED sur le chemin de la patrouille, puis ont ouvert un feu nourri sur les militaires.

Combattants de la NPA

Maryam Mohammadi, Esrine Derkaleh, Nahid Shaqaqi et Akram Nasirian ont chacune été condamnées à 4 ans et 2 mois de prison. Elles étaient accusées notamment de « diffusion de propagande contre l’État, enlèvement du voile et complot contre la sécurité nationale ». Maryam Mohammadi est une ancienne prisonnière politique des années 1980. Elle avait été emprisonnée à l’âge de 14 ans en 1981 et libérée en 1989. Nahid Shaqaqi avait été arrêtée en mai et détenue dans le quartier 209 du ministère du Renseignement pendant plusieurs semaines avant d’être libérée sous caution. Dans le même temps, la 36e chambre de la Cour de révision de Téhéran a prononcé une peine de 4 ans et 5 mois pour la militante civile Rezvaneh Ahmad Khanbeigi qui est emprisonnée depuis le 17 novembre dans le quartier 2A de la prison d’Evine. Par ailleurs, Zohreh Sayyadi a été arrêtée à son domicile dans le canton d’Andicheh, à Téhéran, le mardi 10 décembre 2019. Aucune information n’est disponible sur la raison de son arrestation ou des charges retenues contre elle.

les militantes féministes aujourd'hui emprisonnées

Le 8 juin 2016, deux personnes au visage masqué avaient été filmées en train de poser un engin incendiaire (un réservoir de 5 litres d’essence avec un dispositif d’allumage déclenché par un réveil) devant le distributeur de billets du bureau d’un poste de Gênes. L’engin n’avait pas explosé en raison d’un dysfonctionnement du système d’allumage. Cette action prenait place dans le cadre de la campagne annoncée fin 2015 contre les CPR, les centres fermés italiens.  Les forces spéciales des Carabiniers (les ROS), ont arrêté mardi Giuseppe Bruna, un anarchiste originaire d’Agrigente. La police affirme avoir trouver les traces de son ADN  sur les gants ayant servi à l’action. L’arrestation a été réalisée suivant une ordonnance émise par le juge d’instruction du tribunal de Turin. Giuseppe avait déjà été inquiété par la justice italienne pour l’affaire des colis piégés envoyés aux procureurs dirigeant l’opération « Scripta Manent » contre les anarchistes.

L'intervention des démineurs à Gênes

Dossier(s): Italie Non classé Tags: ,

La contestation au Liban se poursuit en même temps que la répression qui l’accompagne. Des dizaines de personnes ont été blessées dans des heurts survenus samedi 14 décembre, dans la soirée, à Beyrouth. Les forces de sécurité ont utilisé des gaz lacrymogènes et des balles en caoutchouc pour disperser des manifestants antipouvoir. A deux jours de consultations parlementaires organisées pour tenter de nommer un nouveau premier ministre, les manifestants s’étaient rassemblés samedi dans le centre de la capitale pour dénoncer l’ensemble de la classe politique. Les heurts ont éclaté lorsque des manifestants ont tenté de franchir un barrage de police bloquant l’entrée d’une avenue qui mène au Parlement, avant de se poursuivre ailleurs en centre-ville. La Croix-Rouge libanaise a transporté quinze blessés vers des hôpitaux et soigné trente-sept personnes sur place. De son côté, la défense civile libanaise a annoncé avoir transporté trente-six blessés vers des hôpitaux, tandis que cinquante-quatre personnes ont été soignées sur place.

Les affrontements de samedi à BeyrouthLes affrontements de samedi à Beyrouth

Dans la soirée du 5 décembre, dans le quartier de Holargos, à Athènes, un anarchiste belge a été intercepté par deux policiers en uniforme effectuant apparemment un contrôle d’identité au hasard. Comme il figurait dans la base de données de la police (la police belge l’avait accusé d’incendie) et que les policiers ont trouvé sur lui des objets qu’ils jugeaient suspects, il a été emmené au commissariat de Holargos. Après quelques tentatives infructueuses d’interrogatoire par les policiers locaux, des policiers de la sécurité de l’État sont arrivés et ont fait plus de pression, toujours sans résultats. Les policiers de la sécurité de l’État ont emmené le prisonniers dans leurs bureaux du commissariat principal (GADA ), dans le centre d’Athènes.

Quelques heures plus tard, trois perquisitions ont été effectuées chez le prisonnier et ses proches. Un proche a été emmené aux bureaux de la sécurité d’État et a été libéré au bout de deux heures. Plus tard dans la journée, l’anarchiste arrêté a comparu devant un procureur qui a confirmé l’accusation de « possession d’explosifs » formulée par la sécurité de l’État, faisant référence aux objets trouvés au moment de l’arrestation (allumes-feu et produits inflammables). Le lendemain (samedi 7), le prisonnier a comparu devant le tribunal où il a été décidé de reporter le procès ce jeudi 12 décembre. Après l’audience de 7, il a été remis en liberté.

Le GADA, siège de la police à Athènes

 

 

Dossier(s): Grèce Non classé Tags: ,

L’Union européenne a décidé vendredi de renforcer l’agence Frontex, qui comptera d’ici 2027 un contingent de 10 000 gardes-frontières et gardes-côtes. Jamais l’UE n’avait investi autant pour fermer ses frontières. Frontex disposera donc d’ici 2027 d’un contingent permanent de 10 000 gardes-frontières et gardes-côtes, dont 700 agents recrutés directement par l’agence. Une première puisqu’il s’agira du tout premier service en uniforme propre à l’Union européenne. Ces agents disposeront d’un mandat élargi. Ils auront l’habilitation pour contrôler les documents d’identité, surveiller les frontières et expulser les migrant·es. De plus, le nouveau règlement permettra pour la première fois à des agents employés par Frontex elle-même de recourir à la force.

Frontex a d’ores et déjà lancé sa campagne de recrutement. Le contingent de permanents sera mis en place progressivement à partir de 2021 et sera composé de membres du personnel opérationnel de Frontex (3 000 à l’horizon 2027), ainsi que de personnes détachées par les États membres pour de longues et de plus courtes durées. Une force de réserve de réaction rapide sera maintenue jusqu’à fin 2024. Les plus gros contingents seront fournis par l’Allemagne avec plus d’un millier d’agents à l’horizon 2027. Parmi les trente pays participants, la France prêtera près de 800 agents et l’Italie près de 600.

Frontex compte actuellement 700 employés permanents au siège et déploie aux frontières extérieures en Italie, en Grèce, en Espagne et dans les Balkans occidentaux entre 1 200 et 1 500 agents mis à disposition par les pays membres et associés à l’espace Schengen. Frontex dispose en outre d’une réserve de 1 500 agents fournis par les États membres et mobilisables en cas d’urgence.

Affichette contre Frontex

Affichette contre Frontex

Vendredi 15 novembre, à Cochabamba, fief politique de l’ancien président Evo Morales, des violents affrontements ont opposé des milliers de manifestants aux forces de l’ordre tuant 5 personnes et faisant de nombreux blessés. À La Paz, ce sont 4 personnes qui ont été tuées par les forces de l’ordre. Depuis le coup d’état, au moins 24 personnes ont été tuées lors d’affrontements avec les forces de l’ordre. Les manifestant.e.s demandent le retour de Morales, exilé au Mexique depuis sa démission dimanche dernier et dénoncent un coup d’Etat fomenté par l’opposition. La sénatrice issue de l’extrême-droite chrétienne, Jeanine Añez, s’est, depuis, auto-déclarée présidente de la Bolivie, en l’absence de la majorité parlementaire nécessaire pour le faire, et après que les quatre autres personnes en ligne pour la succession aient été contraintes à la démission.

Affrontements à Cochabamba

1° Introduction

Lors d’arrestations de masse, les deux endroits les plus utilisés sont « Les casernes » (complexe de la police fédérale) et « L’amigo » (commissariat central de la police de Bruxelles).
A ces deux endroits s’ajoutent parfois: Le « RAC » (siège notamment de la police judiciaire) et le palais de justice qui disposent de nombreuses cellules.
En cas d’arrestation judiciaire un transfert peut vite avoir lieu vers la prison de Saint-Gilles, de Forest ou de Berckendael (pour les femmes).
Des détentions peuvent aussi se produire dans un des commissariats de la zone de police où l’arrestation a été opérée.
Voici la répartition des zones de police:

2° « L’Amigo »

C’est le commissariat central de la zone de police Bruxelles Capitale Ixelles. Il se situe près de la Grand Place, 30 rue du Marché au charbon.
C’est un immeuble assez ancien, partie pierre, partie brique, les personnes arrêtées y pénètrent souvent par le garage.
Il y a un accueil téléphonique: 02 279 79 79

3° « Les casernes »

La Caserne Lieutenant Général Baron de Witte et la Caserne Major Geruzet sont des anciennes casernes de cavalerie du XIXe siècle, en briques ornées de pierres. Excentrées, elles sont occupées par la Police fédérale et recèlent un complexe de vastes cellules équipé et adapté aux arrestations de masse.
294 boulevard Général Jacques, 1040 Bruxelles (Etterbeek).

3° Le « RAC »

C’est le siège de la police judiciaire, mais il s’y trouve un complexe cellulaire exploité par la zone de police locale Bruxelles-capitale/Ixelles.
C’est un bâtiment moderne de la dite « cité administrative », dans le centre ville.
Bâtiment « Polis », 202 rue Royale 202A à 1000 Bruxelles.

4° Le Palais de justice

Dispose aussi de nombreuses cellules, dans lesquelles sont transférées les personnes en arrestations judiciaires devant être entendues par un juge d’instruction.
Place Poelaert 1, 1000 Bruxelles.

5° La prison de Forest

Totalement évacuée au profit de la prison de Haren (novembre 2023).

6° La prison de Saint-Gilles

Presque totalement évacuée au profit de la prison de Haren.
La prison de Saint-Gilles est une maison d’arrêt.
Toutefois, elle héberge également un nombre limité de condamnés.
Avenue Ducpétiaux 106, 1060 Saint-Gilles
Accueil téléphonique: 02 543 58 26
Lien pour des renseignements supplémentaires (heures des visites etc.)

7° La prison de Berkendael

C’était la prison pour femmes jusqu’à ce qu’elles soient transférée à Haren après l’ouverture de la nouvelle prison.
C’est désormais une maison de détention destinée aux personnes condamnées à de courtes peines.
Les détenus y bénéficient d’un régime moins strict qu’au sein d’une prison ordinaire.
Rue de Berkendael 42-44, 1190 Forest
Accueil téléphonique: 02 349 32 11
Lien pour renseignements supplémentaires (heures des visites etc.)

8° La prison de Haren

Nouveau complexe pénitentiaire de Haren, destiné à remplacer les prisons de Forest, Saint-Gilles et Berkendael. Le centre comptera finalement 1190 places (ce qui ne permet pas d’accueillir le nombre de détenus actuels dans les trois prisons) réparties en plusieurs institutions: certaines réservées aux hommes, d’autres aux femmes, avec des régimes plus ou moins stricts, la structure pour la détention préventive,…
Adresse: R22, Woluwelaan, 1130 Bruxelles

9° Les commissariats de la zone de police Bruxelles Capitale et Ixelles

Outre l’Amigo déjà cité:
Direction de Proximité et d’intervention « Laeken », 246 Boulevard Emile Bockstael à 1020 Laeken: plus d’info
Direction de Proximité et d’intervention « Ixelles-Louise », 1 rue du Collège à 1050 Ixelles: plus d’info
Direction de Proximité et d’intervention « Neder-over-Hembeek/Haren », 130 avenue de Versailles: plus d’info
Commissariat de quartier « Europe », 10 boulevard Clovis: plus d’info
Commissariat de quartier « Dansaert », 6 rue du Houblon: plus d’info
Commissariat de quartier « Vieux Marché », 15 rue de l’Hectolitre: plus d’info
Commissariat de quartier « Nicolay », 8 rue Nicolay: plus d’info
Commissariat de quartier « Houba », 141 avenue Houba de Strooper: plus d’info

9° Les commissariat de la zone de police « Midi » (Saint-Gilles, Anderlecht et Forest)

Commissariat central de Saint-Gilles, 104 rue Antoine Bréart: plus d’info
Commissariat central d’Anderlecht, 36 rue Démosthène: plus d’info
Commissariat central de Forest, 30 rue du Curé: plus d’info
Commissariat de quartier, 2C avenue des Droits de l’Homme à 1070 Anderlecht: plus d’info
Commissariat de quartier, 2 rue Van Lint à 1070 Anderlecht: plus d’info
Commissariat de quartier, rue Victor Rauter à 1070 Anderlecht: plus d’info
Commissariat de quartier, 1 Parvis Saint-Gilles à 1060 Saint-Gilles: plus d’info

10° Les commissariats de la zone de police « Nord » (Schaerbeek, Saint-Josse et Evere)

Commissariat de police 1 « Rodenbach », 15 avenue Georges Rodenbach à 1030 Schaerbeek: plus d’info
Commissariat de police 2 « Hoedemaekers », 9 Square S. Hoedemaekers à 1140 Evere: plus d’info
Commissariat de police 3 « Roodebeek », 66 avenue de Roodebeek à 1070 Anderlecht: plus d’info
Commissariat de police 4 « Bériot », 2A rue de Bériot à 1210 Saint-Josse-ten-Noode: plus d’info
Commissariat de police 5 « Brabant », 82 rue de Brabant à 1210 Saint-Josse-ten-Noode: plus d’info
Antenne « Koban-Brabant », 2 rue Brichaut à 1030 Schaerbeek: plus d’info
Antenne « Haut-Evere », 52  v. du Cimetière de Bruxelles à Evere : plus d’info

11° Les commissariats de la zone de police « Ouest » (Molenbeek, Jette, Ganshoren, Berchem-Sainte-Agathe et Koekelberg)

Commissariat « Centre », 2 rue du Facteur à 1080 Molenbeek-Saint-Jean: plus d’info
Commissariat « Canal », 30A quai des Charbonnages à 1080 Molenbeek-Saint-Jean: plus d’info
Commissariat « Marie-José », 3 avenue De Rooveres à 1080 Molenbeek-Saint-Jean: plus d’info
Commissariat « Maritime », 22-24 rue François Mus à 1080 Molenbeek-Saint-Jean: plus d’info
Commissariat « Mettewie », 535 chaussée de Gand à 1080 Molenbeek-Saint-Jean: plus d’info
Antenne de quartier « Liverpool », 33 rue de Liverpool à 1080 Molenbeek-Saint-Jean: plus d’info
Commissariat de Jette, 11 place Cardinal Mercier à 1090 Jette: plus d’info
Commissariat de Ganshoren, 163 avenue Van Overbeke à 1083 Ganshoren: plus d’info
Commissariat de Berchem-Sainte-Agathe, 15 rue des Alcyons à 1082 Berchem-Sainte-Agathe: plus d’info
Commissariat de Koekelberg, 4 rue de la Sécurité à 1081 Koekelberg: plus d’info

12° Les commissariats de la zone de police Uccle/Watermael-Boisfort/Auderghem

Commissariat central « Marlow » (Uccle), 17 rue Rouge à 1180 Uccle: plus d’info
Commissariat Tritomas (Watermael-Boisfort et Auderghem), 7 rue des Tritomas à 1170 Watermael-Boitsfort: plus d’info
Antenne Fort-Jaco, 22 avenue du Fort Jaco à 1180 Uccle: plus d’info

13° Les commissariats de la zone de police « Montgommery » (Etterbeek, Woluwe-Saint-Pierre et Woluwe-Saint-Lambert)

Maison de police Etterbeek, 122 chaussée Saint-Pierre à 1040 Etterbeek: plus d’info
Maison de police Woluwe-Saint-Lambert, 15 rue François de Belder à 1200 Woluwe-Saint-Lambert: plus d’info
Maison de police Woluwe-Saint-Pierre, 100 rue François Gay à 1150 Woluwe-Saint-Pierre: plus d’info

14° Hors Bruxelles

Les étrangers en situations irrégulières peuvent être placé (s’il ne leur est reproché que leur situation irrégulière) au:
Centre de rapatriement 127bis, 300 Tervuursesteenweg à 1820 Steenokkerzeel
Téléphone: 02 759 42 99

Considérant les manifestations qui s’y déroulent en raison de la proximité du centre 127 bis nous ajoutons à cette liste:
Commissariat de Zaventem, 20 Hoogstraat à 1930 Zaventem: plus d’info

L’aéroport international de Zaventem possède son propre commissariat.
Les services de police de l’aéroport sont joignables en permanence via le numéro de téléphone centralisé : 02 709 66 66.

 

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