Le 27 septembre 2011, 200 prisonniers palestiniens membres du Front Populaire de Libération de la Palestine se sont mis en grève de la faim pour protester contre leurs conditions de détention et la politique d’isolement des prisonniers. Par exemple, le secrétaire général du FPLP Ahmad Sa’adat est isolé dans une cellule et n’a pas droit de voir ses proches depuis 5 ans. D’autres sont isolés depuis 10 ans. Aujourd’hui, 7000 prisonniers palestiniens sont en grève de la faim et refusent même les médicaments. Des manifestations de solidarité sont prévus dans toutes les villes et camps palestiniens de Syrie, du Liban et en Palestine.

Georges Ibrahim Abdallah, militant communiste libanais pro-palestinien détenu en France depuis 27 ans, a entamé aujourd’hui une grève de la faim en solidarité avec les prisonniers palestiniens depuis sa prison de Lannemezan (Hautes-Pyrénées). Il a été rejoint dans sa grève solidaire par des prisonniers basques, corses et des prisonniers « sociaux » de la prison de Lannemezan. Coup Pour Coup 31 co-organise le 22 octobre un rassemblement pour exiger la libération de Georges Ibrahim Abdallah à Toulouse.

France: Grève de solidarité avec les prisonniers palestiniens

600 personnes ont défilé à Bruxelles pour soutenir les peuples arabes en lutte contre les régimes réactionnaires, dictatoriaux et corrompus. Le SR était présent, et cette présence à été l’occasion d’une large diffusion de tract appelant à la libération de Georges Ibrahim Abdallah.

Manifestation pour la Tunisie et l’Egypte, Bruxelles, 6 février 2011


collage à Bruxelles pour G. I. Abdallah (février 2011)


le tract du 6 février pour G. I. Abdallah (.pdf)

Manifestation pour la Tunisie et l'Egypte, Bruxelles, 6 février 2011
collage à Bruxelles pour G. I. Abdallah (février 2011)

Les organisations participant au processus de construction d’un Secours rouge International ont lancé une campagne commune pour la libération des prisonniers révolutionnaires de longue peine non-repentis. Quatre prisonniers au dossier emblématique ont été mis en avant dans le cadre de cette campagne: Georges Ibrahim Abdallah, Marco Camenisch, Mumia Abu Jamal et Jaime Simon Quintela.

Télécharger l’affiche de la campagne

Campagne internationale pour les prisonniers révolutionnaires de longue peine

Lutter pour la libération des prisonniers politiques de longue peine non repentis!

Présentation:

A l‟occasion du 19 juin 2010, le SRI a annoncé le début d‟une campagne à long terme pour la libération des prisonniers politiques qui se retrouvent désormais avec plusieurs dizaines d‟années de prison derrière eux, et qui ne sont pas encore libérés parce qu‟ils continuent à défendre leur identité révolutionnaire.
Plus la spirale de la crise de resserre, plus la réaction de l‟État devient déterminée au moyen de ses organes répressifs contre tout ce qui bouge, résiste et s‟organise. Que ce soit contre les mobilisations de rue, les luttes des travailleurs que contre les luttes à l‟intérieur des universités ou contre celles des sans-papiers. L’acharnement de l‟État se retourne contre ceux qui désormais ont purgé leur peine de prison. Le caractère indomptable de ces prisonniers politiques et de ce qu‟ils expriment, c‟est-à-dire que la résistance n‟est pas seulement nécessaire, mais possible, doit, selon la justice bourgeoise, rester enfermé dans l‟isolement des geôles.
Au niveau mondial, cette tendance est visible. En Europe, c‟est probablement l‟État espagnol qui en est le principal représentant. Il y a des prisonniers politiques de longue peine gravement malades que l‟on ne remet pas en liberté et d‟autres qui, grâce aux nouvelles lois, sont de nouveau emprisonnés au moment où ils s‟apprêtaient à sortir: la peine maximale est augmentée par ces nouvelles lois et les détenus/es libéré/es sont de nouveaux emprisonnés rétroactivement! Dans d‟autres pays européens aussi, comme en France ou en Italie, les portes ne s‟ouvrent pas pour nos camarades, après de nombreuses années passées en prison, sans une lutte pour les faire sortir.
Alors que les premières signatures de l‟appel et que les premières initiatives militantes sont programmées dans le cadre de cette campagne, la Commission pour un Secours Rouge International mettra en avant quatre situations particulières :
– Marco Camenisch (vert-anarchiste), détenu dans les prisons suisses depuis 2002 après avoir déjà purgé 12 années entre 1980 et 2002 en Suisse et en Italie.
– Georges Ibrahim Abdallah (communiste), détenu dans les prisons de l’Etat français depuis 1984, légalement libérable depuis 1999.
– Mumia Abu Jamal (black liberation), emprisonné depuis 1981 et menacé d’exécution dans les couloirs de la mort depuis 1983.
– Xaime Simón Quintela « Moreno » (communiste), emprisonné depuis 1985 dans les prisons de l’Etat espagnol qui refuse d‟envisager un libération avant trente années de détention.
Le choix de ces prisonniers a été fait en fonction de l‟exemplarité de leur situation et pour donner une continuité et une extension aux précédentes campagnes internationales de la Commission pour un SRI.

Sommaire:

-1. Introduction
-2. Marco Camenisch
-3. Georges Ibrahim Abdallah
-4. Jaime Simon Quintela “Moreno”
-5. Mumia Abu Jamal

Le contenu de ce numéro

La campagne internationale pour la libération de Georges Ibrahim Abdallah incarcéré en France a saisi l’occasion de la visite du Bernard Kouchner, ministre français des Affaires étrangères, prévue dimanche au Liban, pour organiser un sit in devant le Palais des pins (Résidence de l’ambassadeur de France) à Beyrouth.

Un meeting pour la libération des prisonniers révolutionnaires arabes aura lieu samedi 22 mai de 15 à 22 heures au Pianofabriek (salle Arenberg). Une information sur la situation des prisonniers politique et en Palestine sera présentée par le représentant du FPLP et on espère une intervention téléphonique du camarade Georges Ibrahim Abdallah (FARL) toujours détenu en France. Un concert de Bashir Al Maghrebi est également prévu.

Notre Secours Rouge a eu les honneurs du rapport 2008 de la Sûreté de l’Etat (nous sommes classés entre ‘extrême gauche institutionnelle’ et ‘anarchisme’…). Voici ce qu’on y peut lire:

APAPC/Sr

L’APAPC/Sr est un comité de soutien aux détenus ‘révolutionnaires’ en Europe. Il fait partie du Secours rouge international (SrI), qui le chapeaute. Dans les pays abritant les activités des différentes branches du SrI, l’APAPC/Sr soutient en priorité les campagnes de solidarité en faveur de ce qu’il appelle les prisonniers ‘politiques’, c’est-à-dire les détenus anticapitalistes, anti-impérialistes, antifascistes et anarchistes. Les chefs de file de cette organisation sont les deux anciens leaders du groupe terroriste d’extrême gauche ‘Cellules communistes combattantes’ (CCC), Bertrand Sassoye et Pierre Carette. Ce dernier s’investit toutefois davantage au sein du Comité solidarité liberté (CSL). (en fait, Pierre Carette n’est plus membres de notre SR depuis 2007) Compte tenu de leur passé terroriste et de leur foi persistante en la nécessité d’une lutte armée pour mener à bien la révolution communiste, les activités politiques des intéressés font l’objet d’un suivi attentif de la Sûreté de l’Etat. Il ressort des diverses interviews que Pierre Carette et Vincent Sassoye ont accordé à la presse que tous deux conservent les prises de position idéologiques qu’ils avaient avant leur arrestation en 1985.

L’arrestation, le 5 juin 2008, de quatre membres de l’APAPC/Sr, soupçonnés par le parquet fédéral d’avoir des liens avec le groupe terroriste italien de gauche Partito Comunista Politico-Militare (PCPM), constitue l’élément le plus marquant de cette année. Des perquisitions menées au domicile italien de membres du PCPM ont permis de mettre la main sur des photos d’identité de ces quatre personnes, ce qui accrédite la thèse d’un soutien logistique.

Dans les faits, l’APAPC/Sr s’est surtout impliqué, en 2008, dans des actions de soutien à Georges Ibrahim Abdallah, un militant du groupe terroriste libanais Fractions armées révolutionnaires libanaises (FArL), emprisonné en France. Il apporte de même son soutien et se montre solidaire des membres de l’organisation terroriste ‘Action directe’ qui sont également détenus dans ce pays.

L’APAPC/Sr fait par ailleurs régulièrement parler de lui par le biais de communiqués, de publications et de manifestations en faveur de ses propres membres emprisonnés ou encore de membres du PCPM et du DhkPC. Plus généralement, il s’oppose à la législation antiterroriste tant au niveau belge qu’européen car celle-ci s’apparente, selon l’APAPC/Sr et le SrI, à une tentative de musellement des mouvements de contestation politique et sociale (de gauche).

Lire le rapport – format pdf

La ‘Gaza Freedom March‘ est une coalition internationale initiée aux Etats-Unis visant à réunir des milliers de volontaires pour dire non au blocus de Gaza. L’opération débutera le 27 décembre 2009, un an jour pour jour après le début des bombardements israéliens à la sortie des écoles de la Bande de Gaza.

Une marche symbolique et une veillée de commémoration aura lieu à Bruxelles. Le départ de la Marche se fera au croisement de l’avenue de Stalingrad et du boulevard du Midi à 13h30, et nous achèverons cette Marche sur la Place de l’Albertine vers 15h30.

La Marche rejoindra en fin de parcours la Veillée commémorative sur la Place de la Monnaie, à partir de 16h00. Le Secours Rouge y sera présent pour revendiquer la libération des membres des résistances palestinienne et libanaise, et particulièrement la libération de Georges Ibrahim Abdallah, révolutionnaire libanais détenu en France depuis 26 ans.

Affiche pour Gaza

Voir notre dossier sur Georges Ibrahim Abdallah

Affiche pour Gaza

Vendredi 23, Bruxelles: rassemblement hebdomadaire pour la libération de Güler Zere, de 14h à 15h rond point Schuman.

Güler Zere

Lire notre dossier sur Güler Zere.

Samedi 24, Paris: rassemblement pour la libération de Georges Ibrahim Abdallah détenu depuis 25 ans. 14h30 métro Barbès-Rochechouard.

Notre Secours Rouge organise un co-voiturage: contactez-nous!

Georges Ibrahim Abdallah

Lire notre dossier sur Georges Ibraghim Abdallah.

28/07/2009

Face aux critiques

‘Anarchiste’ pour les anti-anarchiste, ‘marxiste-léniniste’ pour les anti-marxiste-léniniste, … ou le Secours Rouge face à ses critiques

Historiquement créé pour le soutien aux prisonniers des CCC, l’APAPC (Association des Parents et Amis des Prisonniers Communistes) s’est muée en Secours Rouge pour étendre son soutien à d’autres militants attaqués par la justice de classe pour leur engagement anti-fasciste, anti-impérialiste, ou anticapitaliste, — et cela dans le cadre d’un projet de construction d’un Secours Rouge International.

Le Secours Rouge a ainsi soutenu les syndicalistes de Clabecq, les militants révolutionnaires de Turquie et de Palestine, les dockers réprimés pour leur lutte contre Bolkenstein, le communiste libanais Georges Ibrahim Abdallah, les militants de Tarnac, le prisonnier vert-anarchiste Marco Camenisch, les inculpés du 12 février 2007 en Italie, et bien d’autres.

Le SR réunit des militants qui voient dans la justice de classe un instrument au service de l’exploitation et de l’injustice, et qui ont décidé de mettre de côté leurs divergences politiques et idéologiques dans le cadre d’une lutte anti-répression fondée sur les principes exposés dans la plate-forme du SR.

Le SR n’entend pas juger les moyens, les tactiques ou les stratégies utilisés par les camarades qu’il soutient, dès le moment où il reconnaît en eux des militants ayant lutté contre l’injustice et l’exploitation et réprimés pour leur lutte.

De la même manière, le SR n’entend pas juger les choix de ses membres dans les combats qu’ils mènent en dehors ou parallèlement à leur engagement dans le SR, tant que ces combats participent d’une démarche anti-capitaliste, anti-fasciste, anti-impérialiste, anti-raciste, anti-patriarcale.

Deux hypothèses extrêmes aideront à nous faire comprendre.

Le SR est une organisation révolutionnaire, cela signifie que nous refusons de travailler avec des membres de l’appareil de domination, et notamment des parlementaires, etc. Nous ne les invitons pas à nos activités, nous ne leur donnons pas la parole, etc. Mais si un de ses membres milite par ailleurs dans un parti ayant ou voulant avoir des élus, cet engagement ne sera pas le problème du SR.

Le SR est une organisation légale, mais si un de ses membres s’engage (en prenant soin de ne pas impliquer le SR) dans une organisation de lutte armée révolutionnaire, le SR n’a pas à se prononcer sur cet engagement.

Dans tous les cas, le SR ne demande à ses membres que de respecter, dans le travail du SR, le cadre politique du SR défini dans sa plate-forme. Le SR n’est pas un parti (ni la façade ou le satellite d’un parti) qui demanderait des comptes à ses membres sur leurs autres choix militants.

Le SR garde volontairement et ouvertement des caractères du mouvement communiste dont il est issu (ainsi une analyse de classe, marxiste, de la société) et auquel, dans cette mesure, il appartient, mais il n’est pas au service d’une ligne politique particulière.

Le cadre d’action du Secours Rouge est très simple; il est exposé dans la plate-forme et porté par une pratique militante visible depuis des années. Malgré cela, il se heurte encore trop souvent à l’incompréhension, voire à la volonté de ne pas le comprendre.

Passons sur le PSL qui ne voit dans le SR que ‘les anciens CCC’, passons sur le parquet fédéral qui voit dans le SR la couverture du ‘Parti Communiste Politico-Militaire’, et penchons-nous quelques minutes sur deux documents récents attaquant le SR, documents également pitoyables et remarquablement symétriques: celui du journal Clarté et celui des anarchistes du journal Tout doit partir.

Le document du n°11 de Clarté, sobrement intitulé Luttons classe contre classe, contre la social-démocratie, contre le démocratisme petit-bourgeois, contre l’idéologie anti-parti. Pour l’unité idéologique. Vive le marxisme-léninisme, fait suite à la scission survenue dans le Bloc ML précisément autour de la question du SR. La volonté d’une (courte) majorité dans le Bloc ML de ne pas respecter le cadre du SR, mais au contraire de l’instrumentaliser, de l’utiliser comme satellite et caisse de résonance, s’est heurtée à une résistance telle qu’elle a provoqué une scission dans le Bloc ML. Le document anarchiste spirituellement intitulé Au secours,… des rouges, publié dans le n°4 de Tout doit partir est une réflexion sur la mobilisation anti-répression à partir de l’affaire de Tarnac.

Pour le Clarté, le SR suit une ligne anarchiste et anti-parti. Pour Tout doit partir, le SR suit une ligne marxiste-léniniste, simple reproduction de la ligne ML du temps de Staline.

Juxtaposer ces délires permet de prendre la mesure de leur imbécillité. La symétrie de ces deux documents atteint en effet une sorte de perfection.

La base commune de ces deux textes est ce caractère sectaire qui se conforte dans les conflits passés. Il est évident que si on mettait en présence les rédacteurs de Clarté et ceux de Tout doit partir, ils nous rejoueraient les fusillades inter-révolutionnaires d’Ukraine, de Cronsdadt et d’Espagne, chacun accusant l’autre de ‘trahir la révolution’ et de ‘faire le jeu de l’ennemi’. Nous connaissons ces discours. Les trois derniers paragraphes de la page 35 de Tout doit partir en offrent un exemple particulièrement malhonnête et nauséeux (communiste = fascisme), et certains d’entre nous ont gardé en mémoire la manière pénible dont des militants du Bloc ML ont voulu évangéliser les sans-partis du SR avec les vieilles antiennes sur ‘l’hitléro-trotskysme’. Et naturellement, toutes ces vieilles messes stériles sont justifiées au nom de la ‘la mémoire historique’ et ‘l’intégrité des principes révolutionnaires’.

Le but du SR n’est certainement pas de réconcilier marxisme-léninisme et anarchisme (ou trotskisme, etc.). Mais entre reconnaître les différences profondes entre ces deux projets révolutionnaires, et s’obstiner à ne voir dans l’autre que la copie conforme de ce qu’il était dans les années ’30, il y a une marge que les imbéciles des deux bords s’obstinent à escamoter.

Parce que ni les uns ni les autres ne font une démarche critique du passé de leur courant (Staline ou Makhno, à entendre les uns ou les autres, étant également sans peur ni reproche), ils ne conçoivent pas que, de l’autre côté, il se trouve des marxistes-léninistes et des anarchistes qui, dans le bilan des années ’30 des conflits entre anarchistes et communistes, ne pensent pas seulement en terme de ‘victoire’ ou de ‘défaite’, mais pensent aussi en terme de ‘gâchis’.

Et si l’histoire ne se réécrit pas, si même les choses ne pouvaient se passer autrement qu’elles se sont passées, rien ne nous oblige à rejouer éternellement la même pièce.

Le fait que le SR s’inscrive dans la tradition du SRI n’autorise en rien à établir une égalité entre le SR des années ’30 et notre SR. Dans les années ’30, il existait un véritable Parti Communiste, qui organisait les secteurs avancés politisés et combatifs de la classe.

On peut penser ce que l’on veut de ce Parti, mais ce qui est sûr, c’est que rien de tel n’existe aujourd’hui. Il y a une multitude de groupes qui s’imaginent bien en embryon du futur Parti, mais rien d’équivalent à ce qu’était le PC des ’30. Clarté et Tout doit partir, dans un ensemble parfait, veulent ignorer cela. Le Bloc ML veut ignorer cela, qui prétendait (au nom de quelle réalité?) établir avec le SR un rapport semblable à celui du PCB avec le SR des années ’30. Les anarchistes de Tout doit partir veulent ignorer cela, qui trouvent que ‘rien n’a changé’ entre notre SR et le SR des années’30. A chaque fois le même déni de réalité, la même volonté de voir dans le SR autre chose que ce qu’il n’est.

Ce qu’est le Secours Rouge? Le SR est la combinaison des principes de sa plate-forme, de l’identité de ses membres, de la réalité de sa pratique collective. C’est une organisation rigoureuse dans son projet et ses principes, mouvante et évolutive dans sa réalité collective.

Nous sommes une réalité. Cette réalité est le démenti vivant de leur sectarisme obtus. Là s’explique leur hostilité. Non seulement nous prétendons qu’il est possible de faire l’unité sur le front de la solidarité sans sacrifier nos identités révolutionnaires, mais nous faisons vivre pratiquement cette unité depuis des années. Et nous continuerons à suivre cette voie, à apporter notre solidarité pleine et entière aux camarades anarchistes, syndicalistes, trotskistes, antifascistes, ML, maoïstes, autonomes et autres confrontés à la répression de la bourgeoisie impérialiste, sans plus nous occuper de ceux pour qui notre existence même fait scandale.

Bruxelles, le 10 juillet 2009.

Le Secours Rouge/APAPC, en cela compris des militant(e)s communistes, des sympathisant(e)s anarchistes et communistes, des ‘sans-parti’ progressistes et solidaires.