Deux miliciens gouvernementaux ont été tués et plusieurs autres ont été blessés dans un heurt entre des troupes gouvernementales et la guérilla communiste de la NPA dans la province de Davao Del Norte mardi.
Des guérilleros du PKK ont tué six soldats turcs dans un raid nocturne sur un avant-poste militaire près de la frontière irakienne et près de la ville de Cukurca dans la province Hakkari. Les opération de ratissage, appuyées par des hélicoptères, sont en cours pour essayer d’intercepter le commando.
Onze soldats et un civil ont été blessés dans l’explosion d’un IED déclenchée au passage de leur véhicule à proximité du village de Uzümlü, dans la province de Hakkari ce lundi. Les blessés ont tout d’abord été transporté en hélicoptère à la caserne de Hakkari, avant d’être emmenés vers un hôpital militaire en ambulance.
Une patrouille de soldats s’est faite surprendre ce jeudi par l’explosion d’un IED attribué aux guérilleros du PKK. L’explosion a eu lieu au village de Yalinca, proche de la ville de Gurpinar dans la province de Van. Un soldat a été tué et un autre blessé. Le blessé a été conduit en hélicoptère jusqu’à l’hôpital militaire de Van pour y être soigné
Une réunion, présidée par le Premier Ministre Manmohan Singh, s’est tenue ce mercredi. Elle réunissait les chefs des gouvernements des états du Bihar, du Chhattisgarh, de l’Orissa, du Maharashtra, de l’Andhra Pradesh, du Jharkhand et du Bengale occidental. Au cours de cette rencontre, Singh leur a demandé de créer un commandement unifié pour mener les opérations anti-maoïstes Annonçant de nouvelles décisions pour combattre la guérilla, il a affirmé que le gouvernement allait fournir aux états de nouveaux hélicoptères qui permettront un meilleur soutien logistique, d’améliorer le mouvement des troupes, la fourniture de provisions et l’évacuation. Le gouvernement central va également construire de nouveaux commissariats et renforcer 400 bâtiments existants.
L’armée et des unités d’armée de l’air ont attaqué un camp de FARC près de Cartagena del Chaira. Le raid aurait fait neuf morts du côté de la guérilla dans un secteur montagneux du département du sud de Caqueta tôt lundi matin, selon les autorités colombiennes. Les forces de sécurité ont saisi un 60mm le mortier, des armes à feu et l’équipement de communication de radio pendant l’opération.
L’armée colombienne a mené un raid surprise ce dimanche sur une base des FARC située dans la région montagneuse de Tolima dans le centre du pays. Selon la police, douze guérilleros auraient été tués au cours de cette attaque, parmi lesquels Magaly Grannobles, la commandante de l’unité de sécurité de dirigeant Guillermo Saenz, alias Alfonso Cano. Les onze autres seraient des membres de sa garde rapprochée. La résistance offerte par les guérilleros aux forces de sécurité ont permis à Saenz de passer entre les mailles du filet déployé par ces dernières pour le capturer.
D’autres affrontements entre les FARC et la police ont eu lieu ce week-end. Samedi, dans le sud du pays, les guérilleros ont mené une offensive durant laquelle sept personnes, dont trois policiers, deux soldats et deux civils ont été tués. Dimanche, de violents affrontements se sont déroulés dans la province d’Arauca, à la frontière vénézuélienne. Dix soldats ont été tués.
Des guérilleros du PKK ont attaqué un commissariat de police dans la ville de Varto, (province de Mus) dans le nuit de jeudi à vendredi, blessant quatre policiers.
Un officier et six soldats du 54e bataillon d’infanterie de l’armée philippine ont été tués dans un échange de coups de feu avec « des douzaines » de combattants de la NPA dans la ville Bontoc. Ceux-ci, a reconnu le porte-parole de l’armée, se sont emparés des fusils d’assaut des soldats morts avant de quitter le lieu de l’embuscade. Les autorités ont lancé des opérations de poursuite contre les attaquants.
Le 2 juillet dernier, une explosion avait soufflé vers 3h du matin le centre de recrutement de l’armée canadienne à Trois-Rivières avait été la cible d’une attaque à l’explosif. Personne n’avait été blessé puisque le centre et les locaux environnants étaient alors inoccupés.
Le groupe «Résistance internationaliste» avait revendiqué l’action, dénonçant la politique militariste et impérialiste du Canada et souhaitant «s’assurer que les pouvoirs politique, économique et militaire ne poursuivent impunément l’entreprise d’endoctrinement justifiant leur aventure impérialiste». «Le gouvernement canadien ne se contente pas de nous soumettre à l’oligarchie marchande et de lui livrer nos ressources, il réclame qu’on aille lui asservir d’autres peuples. Subir les effets et les dangers de l’exportation gazière ne suffit pas, il faudrait qu’on aille sécuriser un trajet de pipeline (TAPI) en territoire afghan», ajoute le groupe dans ce communiqué.
Le groupe avait déjà revendiqué deux autres attentats au Canada dont un contre un pylône d’Hydro-Québec, près de Coaticook, servant à l’exportation d’électricité vers les États-Unis en 2004, et l’autre contre la voiture d’un porte-parole de l’industrie pétrolière en 2006.
L’enquête sur l’explosion du 2 juillet a transférée de la Gendarmerie du Canada (GRC), qui menait l’enquête jusqu’à maintenant, à l’Équipe intégrée sur la sécurité nationale (EISN), regroupe plusieurs partenaires, dont la GRC et le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM).
Attentat contre l'armée canadienne à Trois Rivières