Actualité de la répression et
de la résistance à la répression

Affiche du meeting

Le 19 mars, le Secours Rouge/APAPC et l’Union des Jeunes Progressistes Arabes ont tenu un meeting pour la libération de Georges Ibrahim Abdallah à l’Espace Marx à Bruxelles.

Le meeting a rassemblé une soixantaine de personnes qui ont d’abord entendu les prises de parole des organisateurs du meeting avant de visionner la vidéo réalisée par la famille de Georges. Un message téléphonique de Georges adressé aux participants du meeting a ensuite été diffusé, suivi de la projection d’un film sur la guerre de 1982 au Liban, quand les forces armées sionistes, appuyées par les puissances impérialistes, avaient envahi le Liban, encerclé et bombardé Beyrouth, et permis à leurs auxiliaires fascistes libanais de massacrer des centaines de civils palestiniens et libanais dans les camps de Sabra et Chatila. C’est en riposte à cette invasion et à ces masssacres que les FARL avaient exécuté à Paris le responsable du Mossad de l’ambassade d’Israël et l’attaché militaire américain.

Différentes organisations solidaires sont intervenues en fin du meeting: les Etudiants Communistes Libanais, Voie Démocratique (Maroc), Front Démocratique Populaire de Libération Ahwaz, et du Front Révolutionnaire de Libération du Peuple de Turquie (DHKC). Le camarade du DHKC a eu l’occasion e rappeler qu’en prison, Georges Ibrahim Abdallah a participé à des grèves de la faim en solidarité avec les prisonniers révolutionnaires de Turquie en lutte contre le régime d’isolement des prisons de type F, lutte qui a déjà coûté la vie à cent-sept prisonniers et qui se poursuit encore actuellement.

Vidéo lors du meeting

Un rendez-vous a été pris au meeting pour la manifestation du lendemain contre la guerre et l’occupation de l’Irak.

Les organisateurs et les participants du meeting ont adressé ce massage à Georges Ibrahim Abdallah:

Cher ami, cher camarade. Ce vendredi 19 mars, nous avons participé à une réunion publique appelant à ta libération. Européens et Arabes, militants politiques et simples citoyens conscients, hommes et femmes, jeunes et vieux, nous sommes solidaires de ton combat pour les peuples arabes libanais et palestiniens. Nous te souhaitons e la force, du courage et une prompte libération!

-Vive la solidarité internationale!
-A bas l’impérialisme, le sionisme et les régimes arabes réactionnaires!
-Vive la lutte et la libération des peuples!

Intervenants au meeting

Bilan chiffré de l’agit-prop pour le meeting: 2750 tracts diffusés (marché de Saint-Gilles, d’Anderlecht, du midi et de Molenbeek, ULB, meeting Chili au Pianofabriek, meeting Palestine à l’Espace Marx, soirée basque à Recycl’art, fête anniversaire d’ATTAC, etc.); 500 affiches collées: 500 (+ une centaine d’affiches génériques Secours Rouge); annonces radio à Al Manaar et à Air Libre; mailing. Brochures des Textes de Georges: premier tirage de 200 exemplaires (150 en supplément à Solidarité n°3 + 50 envoyées à Paris); deuxième tirage de 200 exemplaires (dont un second lot de 50 exemplaires pour Paris). Total: 400 exemplaires. T-Shirt imprimés: 30.

Affiche du meeting
Vidéo lors du meeting
Intervenants au meeting

01/01/2004

Solidarité! n°3

Jaquette du Solidarité! n°3

Belgique / Bruxelles: Tous au meeting pour Georges Ibrahim Abdallah! / Liège: Verdict au procès des occupants de l’ONEM / Bruxelles: Rassemblement pour dénoncer les politiques européennes vis-à-vis des sans-papiers / La loi sur les ‘infractions terroristes’, une nouvelle loi liberticide / Liège: Le procès de l’accident à Cockerill / Patrons et polices, même combat! / Bruxelles, visite du président colombien Uribe / International / Solidarité avec Nathalie Ménigon! / Turquie: Répression contre les familles des grévistes de la faim / France: Adoption de la loi Perben / France: Deux procès à Paris / USA: Les armes anti-émeutes à micro-ondes / France: Le chantier de la future prison de Rennes incendié / France: Nouvelle arrestation d’un réfugié italien

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Jaquette du Solidarité! n°3

01/12/2003

Solidarité! n°2

Jaquette du Solidarité! n°2

Belgique / Des nouvelles de la loi sur les ‘méthodes particulières de recherche’ / Grève de la faim au Chili et manifestation à Bruxelles / Bruxelles: Répression de la manifestation pour Marco Camenisch / Les dix droits de base du manifestant / Bruxelles: Action de solidarité avec Marco Camenisch / Zeebrugge: Chasse aux clandestins / Brugge: Action de solidarité devant le centre fermé / Bruxelles: Manifestation de solidarité avec les réfugiés iraniens / Bruxelles: Arrêt puis reprise de la grève de la faim des réfugiés iraniens / Alveringem: Marche aux flambeaux contre l’expulsion d’une famille macédonienne / Bruxelles: ‘Jugement’ des gendarmes meurtriers de Sémira Adamu / International / France: Exigeons la liberté de Georges Ibrahim Abdallah / Pays Basque: Laboratoire de la répression en Europe / Palestine: Des nouvelles d’Amina Mounah / Allemagne: Solidarité avec les Trois de Magdeburg / Tunisie: Situation de Radhia Nasraoui / Grèce: Les Sept de Salonique remis en liberté / France: Conférence de presse pour Nathalie Ménigon

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Jaquette du Solidarité! n°2

Bombage pour Camenisch

Reçu sur la boîte mail du SR: ‘Ce dimanche 16 novembre, nous avons cadenassé et barricadé la porte de la Chambre de commerce suisse en Belgique, 24 rue des Nations, à 1050 Bruxelles, en solidarité avec Marco Camenisch. Marco est un militant révolutionnaire vert-anarchiste détenu en Suisse dans des conditions telles que plusieurs campagnes internationales de solidarité ont été organisées pour le soutenir, rassemblant des initiatives en France, Italie, Suisse, Argentine, Espagne et Belgique. C’est ainsi qu’un premier rassemblement de solidarité avec Marco Camenisch s’était tenu devant la chancellerie de Suisse de Bruxelles: pendant une heure, le 18 janvier, une vingtaine de membres et de sympathisants du Secours Rouge/APAPC et de l’Anarchist Black Cross/Gent avaient déployé sur le trottoir de la rue de la Loi des calicots en solidarité avec Marco. Un rassemblement similaire avait été prévu le 3 novembre, mais la police de Bruxelles est intervenue: les dix premiers manifestants furent encerclés et interpellés par des policiers en tenue anti-émeute, les calicots furent confisqués, les identités relevées, etc. La répression immédiate d’une manifestation pacifique aussi réduite (dans le temps, dans nombre des participants, dans les dérangements qu’elle pouvait occasionner) donne la mesure du caractère formel de nos ‘libertés‘ [une problème de logiciel et/ou de transmission a rendu illisible la suite du document]

Lundi 3 novembre 2003, le Secours Rouge/APAPC et l’Anarchist Black Cross de Gand avaient appelé à un rassemblement de solidarité avec le prisonnier vert-anarchiste suisse Marco Camenisch devant la chancellerie (ambassade) de Suisse à Bruxelles. Dès l’arrivée de la première dizaine de manifestants, la police de Bruxelles est intervenue. Les manifestants ont été encerclés par des policiers en tenue anti-émeute. Un contrôle d’identité général s’en est suivi, tandis que la police continuait à boucler le périmètre. Deux calicots du Secours Rouge et un drapeau communiste ont été confisqués. Quelques mesures d’intimidations ont été faites contre les manifestants.

Tract pour Camenisch

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Tract pour Camenisch

01/10/2003

Solidarité! n°1

Jaquette du Solidarité! n°1

Belgique / 5ème anniversaire de la mort de Semira Adamu / Liège: Procès des métallurgistes d’Arcelor / Liège: Procès contre les militants anti-expulsions / Termonde: Procès des ‘trainstoppers’ / Vottem: Manifestation chaque mercredi et samedi / Tous à la manifestation pour Marco Camenisch! / International / France: Manifestation du Secours Rouge à la prison de Bapaume / Suisse: Message de Marco Camenisch pour la manifestation de Bapaume / Israël/Palestine: Une prisonnière politique palestinienne en danger / Suisse: Solidarité avec notre camarade Andi! / Maroc: Exigeons la vérité sur le camp secret d’Igdaz / Grèce-Catalogne: Suites du Sommet de Thessalonique / France-Pérou: Conférence pour défendre la vie du président Gonzalo / Pays-Basque: Répression de la gauche indépendantiste / Allemagne: Les Trois de Magdeburg / France: Procès des militants du PCE(r) et des GRAPO / Italie, Suisse et France: Blitz policiers en série / Italie: Deuxième symposium international de lutte contre l’isolement

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Jaquette du Solidarité! n°1

Affiche de commémoration pour Semira Adamu

Le 22 septembre a marqué le cinquième anniversaire de la mort de Semira Adamu, assassinée lors de son expulsion. Une politique toujours plus répressive à l’égard des sans papiers et de ceux qui les soutiennent s’applique plus férocement que jamais. Les récentes rafles, le procès contre les membres des collectifs contre les expulsions mais aussi les luttes des équatoriens, des iraniens et des afghans ont marqué l’actualité et souligné les effets désastreux de cette politique inhumaine. Parallèlement, une solidarité sans précédent s’est constituée: assemblées de voisins, comités de quartier, collectifs de sans papiers… Cinquante organisations et associations (parmi lesquelles le Secours Rouge/APAPC) se sont regroupées afin de marquer le dimanche 21 septembre d’une pierre blanche, en organisant ensemble un grand rassemblement en mémoire à Semira Adamu sous les mots d’ordre:

5 ans après l’assassinat de Semira Adamu, les expulsions et les déportations sont toujours des crimes. Justice pour Semira Adamu. Arrêt des poursuites à l’encontre des militants des collectifs contre les expulsions. Régularisation de tous les sans-papiers. Liberté de circulation et d’installation.

Plusieurs centaines de personnes ont participé au rassemblement qui s’est tenu dans la salle de la Madeleine (centre de Bruxelles) à 18h30, pour suivre les concerts (notamment Claude Semal, Starflam, Pitcho, Rionsnoir, PPZ30, Ecuador Andino, Emma Peal….), les interventions, et les diverses activités proposées par les associations organisatrices (le Secours Rouge a ainsi tenu un stand d’information). La journée avait été animée de plusieurs initiatives et manifestations organisées par les collectifs de soutien aux sans-papiers.

Affiche de commémoration pour Semira Adamu

Communiqué:

Cette nuit du 19 septembre 2003, des membres et des sympathisants du Secours Rouge/APAPC ont tiré des fusées marines de détresse contre le centre fermé de Steenokerzeel. Il s’agissait de signaler aux hommes, femmes et enfants qui y sont emprisonnés sans avoir commis aucun délit, et à fortiori, sans avoir jamais été jugés, qu’il se trouve, dans ce pays, des gens pour connaître leur détresse et pour vouloir y mettre un terme. Il s’agissait aussi d’attirer l’attention sur cette réalité honteuse et tragique de ces centres fermés que les gouvernements (tous partis et coalitions confondus) s’appliquent à camoufler. La réaction frénétique des forces de sécurité à la suite de notre action révèle la véritable nature de ces camps de concentration nouveau style que sont les centres fermés. Lutter pour la fermeture des centres fermés, c’est aussi et surtout lutter contre la politique migratoire propre au régime capitaliste.

Contradiction manifeste de la phase actuelle du capitalisme: tout en favorisant la généralisation des échanges et la circulation infinie (des capitaux, des biens, des services, de l’information, de la main d’oeuvre utile,…), le capitalisme mondialisé doit se protéger contre une partie des liaisons et des mouvements qu’il suscite. Comme souvent, cette contradiction génère de l’agitation sociale que l’Etat au service des intérêts capitalistes s’empresse de réprimer et criminaliser. Par son attitude prétendument réaliste à l’égard des sans-papiers, l’Etat ne fait que gérer le fruit de sa politique migratoire. En s’appuyant sur un discours démagogique associant l’immigration au chômage – comme si c’était les travailleurs immigrés qui avaient provoqué la fermeture des forges de Clabecq et comme si le travail des migrants n’était pas une source de richesse sociale – l’Etat refuse toute forme d’immigration légale et contraint par là les migrants à recourir aux procédures d’asile ou aux filières clandestines.

Cette politique est hypocrite en ce sens que l’exploitation du tiers-monde par l’impérialisme y provoque une telle misère que les politiques migratoires les plus intolérantes et les plus répressives ne freineront en rien l’afflux des migrants, mais les pousseront simplement davantage dans la clandestinité et la précarité. L’hypocrisie se poursuit lorsque les opérations policières de contrôles et de rafles sont menées au nom de la lutte contre les réseaux maffieux, les trafiquants d’êtres humains et les exploiteurs (de travail clandestin ou de logement insalubre), alors que c’est précisément l’épée de Damoclès de la répression qui fait le fonds de commerce de ces réseaux.

Nouvelle ‘armée de réserve’ du capital, ces travailleurs non-protégés, non syndiqués, exploitables au dernier degré, fait pression sur le prolétariat pour baisser les salaires et dégrader les conditions de travail. Les travailleurs étrangers servent régulièrement de cobayes pour l’expérimentation de nouvelles conditions de travail et comme matelas protecteurs ou boucs émissaires pour amortir les chocs sociaux et politiques qu’engendrent ces nouveaux rapports de production. Le travail des étrangers irréguliers n’est pas un phénomène aberrant ou marginal mais l’aboutissement logique d’un système de production qui privilégie toujours plus de flexibilité et de précarité de l’emploi. Au lieu de jouer le jeu de patronat et de l’Etat qui cherchent à diviser la classe ouvrière en stigmatisant les immigrés, il est donc de l’intérêt du prolétariat de se solidariser avec les travailleurs illégaux, de les aider à sortir de leur situation de non-droit et, à plus long terme, de combattre le système impérialiste seul responsable de toute cette ‘misère du monde’. La défense des étrangers ne relève pas de d’une attitude humaniste ou caritative mais participe pleinement à la lutte des classes et au combat contre le capitalisme.

Travailleurs de tous les pays, unissez-vous! Solidarité avec les sans-papiers! Fermons les centres fermés!

Manifestation à la prison de Bapaume

Manifestation devant la prison de Bapaume

Calicot pour Joëlle et Nathalie à Bapaume

Devant la prison de Bapaume

Compte rendu de la manifestation:

Le samedi 13 septembre 2003, à l’appel de la Commission pour un Secours Rouge International, une soixantaine de personnes venues de Belgique, de Suisse et de France ont manifesté en fin de matinée devant la prison de Bapaume (France) en solidarité avec les militantes d’Action directe, Joëlle Aubron et Nathalie Ménigon. Ont participé à cette initiative, outre les sections de la Commission pour un SRI, des militants du Collectif ‘Ne laissons pas faire’, de la CNT (de Béthune et de Paris), de l’Anarchist Black Cross (Lille) et du Comité Secours Rouge (Paris).

Les manifestants réclamaient la libération des deux militantes et ont exprimé leur solidarité avec la militante basque Julia Morena Maquso également détenue à Bapaume. Ils ont déployé de grandes banderoles, brandi des drapeaux communistes et anarchistes, lancé des ballons porteurs de drapeaux rouges, allumé des fusées de détresse et provoqué un tintamarre de sifflets. Parmi les slogans: ‘Liberté pour Nathalie et Joëlle!’; ‘Prison partout justice nulle part!’; ‘Reprenez Papon, donnez-nous Ménigon!’; ‘Pierre par pierre, mur par mur, détruisons les prisons!’. Plusieurs messages de solidarité ont été lus au mégaphone à l’intention des prisonnières.

La manifestation était visible de toute une partie de la prison et audible pour le reste. Joëlle et Nathalie avaient déployé un drapeau rouge depuis la fenêtre d’une cellule pour saluer les manifestants. Les autres détenus répondaient avec enthousiasme aux slogans des manifestants et ont eux-mêmes scandé à maintes reprises: ‘Libérez Joëlle et Nathalie!’, appuyant leur propos par un concert de gamelles frappées sur les barreaux. La manifestation s’est terminée après une heure pour ne pas donner à la prison un prétexte pour supprimer les visites de l’après-midi. Elle s’est terminée sans incident; elle a donné lieu à un article important dans La Voix du Nord et a été mentionnée dans Libération.

Emprisonnées depuis seize ans, Joëlle et Nathalie ont toujours maintenu fermes les principes révolutionnaires, ont lutté avec un immense courage, par de dures grèves de la faim, contre l’isolement, et ont participé en prison à de nombreuses initiatives de solidarité, notamment avec les prisonniers révolutionnaires de Turquie en grève de la faim, de leur propre initiative ou dans le cadre de la Plate-forme du 19 juin 1999 des prisonniers révolutionnaires, communistes, antifascistes, anarchistes et anti-impérialistes.

Le Secours Rouge a décidé cette initiative en soutien à ces prisonnières particulières sans perdre de vue qu’en France, ce sont plus de 200 prisonniers anticapitalistes et anti-impérialistes qui sont confrontés à une répression brutale allant sans cesse s’aggravant. Le cas des militants antifascistes espagnols du PCE(r), des GRAPO et de l’AFAPP est particulièrement révélateur de cette offensive réactionnaire, mais nous pouvons également citer le cas des prisonniers bretons, basques, le cas du camarade Georges Ibrahim Abdallah détenu depuis dix-neuf ans, etc. La manifestation de Bapaume a permis de faire vivre les principes fondateurs du Secours Rouge. Il s’agit d’organiser des militants communistes, des sympathisants communistes, et des personnes faisant le choix de travailler avec des communistes sur la question de la lutte contre la répression de classe, dans le soutien à toutes les personnes qui sont victimes de la répression de classe en raison de leur engagement anticapitaliste et anti-impérialiste (militants syndicaux et ouvriers, révolutionnaires communistes ou anarchistes, combattants des luttes de libération nationale, etc.).

L’organisation de la solidarité à l’échelle internationale se heurte à beaucoup de difficultés, mais elle doit aller de l’avant, aussi bien en empruntant la voie de la construction d’un Secours Rouge International, qu’en empruntant celle du développement des relations de travail entre les forces du Secours Rouge et d’autres forces solidaires. La manifestation de Bapaume avait été précédée à Bruxelles, le vendredi 5 septembre 2003, par une soirée publique d’information sur la situation de Joëlle Aubron et Nathalie Ménigon organisée par le Secours Rouge/APAPC. Cette soirée s’est tenue à Saint Gilles (Bruxelles) dans la nouvelle salle de réunion de l’ASBL culturelle AURORA. C’est finalement une douzaine de membres et sympathisants du Secours Rouge/APAPC qui firent le voyage de Bruxelles à Bapaume.

Lire le communiqué du Secours Rouge sur cette mobilisation – format pdf

Manifestation devant la prison de Bapaume
Manifestation à la prison de Bapaume
Calicot pour Joëlle et Nathalie à Bapaume
Devant la prison de Bapaume